Mais l'asphalte brillait dans la douceur du vent Sous les reflets argent des oiseaux de passage Quand je criai ton nom silencieusement Les yeux baignés d'une eau plus dense qu'un orage
Sous les reflets argent des oiseaux de passage Le ciel mimait la mer en écume d'étain Les yeux baignés d'une eau plus dense qu'un orage Je suivais du regard ton corps dans le lointain
Le ciel mimait la mer en écume d'étain Pour suspendre le temps aux griffes des envies Je suivais du regard ton corps dans le lointain Mes mains frôlant encor' tes chairs inassouvies
Pour suspendre le temps aux griffes des envies J'arpentais le néant ivre de ton odeur Mes mains frôlant encor' tes chairs inassouvies En quête d'épeler les mots de l'impudeur
J'arpentais le néant ivre de ton odeur Courrai fou de douleur sur le chemin du tant En quête d'épeler les mots de l'impudeur Mais l'asphalte brillait dans la douceur du vent
Ashimati - Feu 23 Mai 2012
le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages
Un pantoum en alexandrin bien ficelés où contemplations, désirs et mélancolie se mêlent allègrement. Merci pour ce doux partage et au plaisir. Avec mes chaleureuses amitiés Bien cordialement L'Architecte
Je retrouve un excellent pantoum, ce que j'apprécie beaucoup et l'histoire est triste et belle avec cette présence d'effluves d'océan Merci Un coup de coeur ODE 31 - 17
Je trouve que le pantoum donne une sensation d'un enivrement, quelque chose dont on ne peut se défaire et qui revient sans cesse. Merci à tous les 3 de vos escales, merci d'avoir aimé. Amitiés et bises. Feu
le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages
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