Parfois les mots tels des papillons de la nuit viennent se faire brûler à la lumière. Quand on a tellement à dire qu'on ne dit plus rien, on laisse la plume dessiner sur les pages les traces de nos blessures..Alors, tes blessures ont parlé...bien parlé.. et quel beau poème tu nous livres ici.. Ravi d'être passé lire ces fragments tourmentés.. Merci bekri
J’ai des cheveux qui blanchissent à vue,Des rides qui racontent toutes les guerres,Et je crie … et j’appelle : Je voudrais joindre Une femme inconnue et que J’aime
J'aurais voulu pourtant que le jeu sonore du premier vers continue à jouer tout au long (avec les "elle")... Cela aurait donné un peu plus l'effet de ritournelle... Et peut-être renforcé le fond du poème...
Merci.
Amicalement,
Tilou
Elle me dit que mes guerres sont des fleurs fanées et qu'il reste une terre pour l'aimer ici bas
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