Au-dessus des prairies se régale et sur une tige goulûment elle voltige y soûle sa soif vorace ne perd goutte du breuvage nectar d’âme enchanteresse exaltant jusqu’au prodige.
Après s’être métamor- phosée en femme elle érige hampe virile au cintrage
royal pour la mettre à mort ourlée de ses lèvres rouges douces et pleines d’amour
ivre de cueillir l’orage tout prête à la raffermir en gloire que plus n’abrège.
ce n'est pas de la jalousie. MUSE m'y en autorisé un autre ACROSTICHE ?
Avec beaucoup d'amour, Puis-je laisser mes mots Heureux et sans détours, Rayonnant placebo, Ode à ce parcours, Donnant de mes plus beaux Invitant de ce jour, Tes pensées au très haut En virtuel amour.
ce n'est pas de la jalousie. MUSE m'y en autorisé un autre ACROSTICHE ?
Avec beaucoup d'amour, Puis-je laisser mes mots Heureux et sans détours, Rayonnant placebo, Ode à ce parcours, Donnant de mes plus beaux Invitant de ce jour, Tes pensées au très haut En virtuel amour.
si tu avais été MUSE, m'en aurais-tu autorisé ?
Merci Sam
Y A T'IL UN PASSAGE QUI VOUS A PIQUÉ AU COEUR ? ;-) Poètiquement vôtre, Argynne Aphrodite
Aphrodite sans son Argynne? C'est vrai que ce n'est pas encore le printemps, mais dès demain, Sam, il faudra lui rendre son emblème libérateur.
A bon entendeur, etc.
ohhh ! le bel esprit ! tout est dit ;-) et de plus avec ces circonstances du moment, une libération par l'éveil murissant pourra peut-être voir jour au sortir de cette crise, pour beaucoup !
Y A T'IL UN PASSAGE QUI VOUS A PIQUÉ AU COEUR ? ;-) Poètiquement vôtre, Argynne Aphrodite
999 excuses, vers toi MONTHERY Accepte ma Réactivité pour ta Généreuse Yourcenar Nous réunissant Naturellement En ces instants. et la dernière excuse pour la belle qui est acrostichée.
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