pour clamer des haïku il faut être philosophe , j'avoue mettre pencher sur cet exercice juste 2mn 35 ... certes se n'est pas une réussite , mais finalement une Geisha et l'instrument de musique m'a fort inspiré , pour un poème plus simple .
un joli et agréable voyage sans bouger, juste notre esprit se posant en un ailleurs que ta plume dépeint superbement, avec ces geishas qui sont tout le symbole de cette Asie lointaine ! un très bon moment de lecture. amitiés sincères à toi. pyc.
Ce sont bien là morceaux choisis, pleins de douceur, comme un écho avant-coureur de mon tanka :
Geisha ! ô Shamisen !
*
Geisha ! d’opium de trois touches parfumée de trois cordes lisses...
De deux corps délice esquis qui jà jamais ne se touchent !
*
Au plaisir, éric.
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