Dure vie, dure à mener, dure à continuer... Facile fin, facile à trouver, facile à amener... Bonheur absent, éphémère, introuvable... Malheur présent, permanent, qui m'accable... La vie continue, s'en va, je ne la suis plus... La fin approche, s'abat, j'y suis perdue... Le bonheur me fuit, se cache, je n'en veux plus... Le malheur s'installe, s'attache, je n'en peux plus...
Dure vie, sans toi, je ne suis rien... Facile fin, s'approche mon fatal destin... Bonheur absent, parti en même temps que toi... Malheur présent, arrivé, tu n'es plus là... La vie s'arrête, tu as disparu... La fin est proche, tu n'es plus... Le bonheur est mort, il est introuvable... Le malheur lui vit, si invivable...
(9 juin 2006)
Ecrits vains d'un être ange, étrange écrivain.... Il s'écrie et ses cris se mélangent à son sang, triste vin...
tu psalmodies ces mots, comme une litanie, comme pour te protéger du mauvais sort... La vie ne te laissera jamais tomber, tu tomberas dans une de ses méandres où tu pourras reprendre tes esprits et retrouver un peu de sérénité...Et elle t'attendra... Je ne sais pas quoi dire devant une telle douleur, parce qu'en ce moment j'ai l'impression que cela m'arrive aussi que je m'étouffe.... Mais je te tends ma main, du plus loin que je le pourrai amitiés
Je suis comme ce temps que l'on ne remonte pas : décalée et détraquée.
N'oublie pas mes mots, petit papillon. Que ton soleil brille encore et encore, éternellement même. J'aime être éblouis par tes rayons. Bises à toi ! Merci de t'être arrêtée ici.
Ecrits vains d'un être ange, étrange écrivain.... Il s'écrie et ses cris se mélangent à son sang, triste vin...
Le bonheur n'est pas mort parce qu'il est introuvable.. Le bonheur est une suite d'instants à vivre sans discontinuité.. il faut combler ces intervalles qui se creusent parfois... pour que la ligne redevienne une belle droite... Tu peux la tracer cette ligne, Magalie.. et plus que tout, tu en as le courage... Endormir le malheur.. qu'il ne vienne pas pointiller cette ligne... Ces vides marqués, il faut les combler par les lumières de cette étoile qui brille.. tu sais laquelle..
Si l'amour s'écrivait avec des grains de sable, j'en écrirais des plages et des plages...
Ambre, Tu as tellement raison... Ah ! Le bonheur, j'y goûte inlassablement quand ces petits instants surviennent. C'est en venant sur LPDP et en parlant à des personnes telles que toi que ces vides se comblent et que mon coeur garde l'espoir. Merci pour cela. Oui, c'est grâce à vous tous qu'alors j'en ai le courage. Je veux tracer une belle ligne et empêcher quelconque obstacle de venir la couper. Merci beaucoup pour ces mots qui savent me redonner espoir. Quand rien ne va et que je n'ai personne à qui parler, je viens ici. C'est un petit coin de Paradis où de merveilleux anges posent leurs ailes. Chaque jour je passe et j'en ressors le coeur plein d'émotions, de bien, d'espoir et de force... Gros bisous
Ecrits vains d'un être ange, étrange écrivain.... Il s'écrie et ses cris se mélangent à son sang, triste vin...
WOW! Je suis chavirée par la beauté et la fragilité de ton poème! Une si intense souffrance... que tout le monde a dû vivre un jour ou l'autre, mais si joliment racontée! Je suis sans mots! Bravo! Je nomine ce poème, il le mérite grandement! Bon courage!
Mes amitiés Catherine xx
Parce qu'on ne peut effacer Tout c'qui brûle nos mémoires Parce que le temps va passer Et parce que tout nous sépare (R. Tabra)
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.