L’odeur d’un bon café se glissa jusqu’à nous, Paul, s’était éclipsé, il connaissait l’affaire. Ça le mettait toujours, sens dessus dessous. Il préférait partir, qu’écouter et se taire. . Chris toujours à l’écoute, était resté assis Sur le rebord du lit, il buvait ses paroles. Revoyant la photo entourée d’un châssis En planche de bois flotté, décoré de darioles.
C’était donc la photo, de son défunt mari… J’imaginais sa peine, sa douleur après ça. Il nous fallait quitter, rapidement cet abri Mais je ne voyais pas, comment sortir de là.
Puis j’entendis sa voix à nouveau qui reprit. -Je n’ai pu le prévenir, ils avaient disparus. La recherche des sauveteurs se fit tard dans la nuit Je suis retourné voir dans la chambre de l’intrus
Il restait peu de choses, quelqu’un était passé. Cela confirmait bien tout mon pressentiment. J’étais prise de frayeur, complètement dépassée. Il me fallait voir Paul, lui dire mon sentiment
Sur cet individu de cette pénible histoire. Et c’est là qu’à son tour, il vint me révéler, Que des types sont venus et l’ont forcé à boire, Pour qu’il puisse dévoiler, ce qui était celé.
Ils avaient beau parler, entre eux en Italien, Mon frère comprenait tout pour avoir étudié, L’architecture à Rome et chez les Siciliens. Tant d’études pour finir, marin sur chalutier.
Ils parlèrent d’un Parrain puis de Cosa Nostra. Ces ennuis commencèrent, et il savait pourquoi, Trahi pour son amour, d’une fille de Camarra Il avait trop parlé, d’où sa crainte, son effroi…
Yvon c'est vraiment un très belle saga ce phenix merci pour ces jolis poèmes !!!! j'ai encore aimé vous lire une lecture très plaisante je nomine aussi quand j'aime je nomine merci et amitié Yvon
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