Larmes du soir, Bonsoir, la journée n’a pas trop duré ? Vous étiez tellement impatientes que mes yeux brillaient Ils tremblaient de votre désir de sortir vous moquer De ma tristesse et ma faiblesse que je ne peux contrôler
Sortez maintenant, amusez-vous bien de mon état Ma famille n’entendra rien, ne vous inquiétez pas Coulez donc sur mes joues sans vous soucier de ma santé J’ai l’habitude maintenant après toutes ces années
Ravivez mes souvenirs sensibles, je les connais pas cœur Titillez mes plaies ouvertes que je sente bien la douleur Rappelez-moi ces enterrements où je n’en pouvais plus Où le chagrin est venu, a combattu et m’a vaincu
Une fois que vous aurez terminé, j’irai me coucher Je préparerai mon sourire faux pour la journée Et j’attendrai votre retour calmement malgré mes envies de hurler Jusqu’au jour où vous gagnerez pour de bon le contrôle de mes pensées
Un bien triste poème , mais combien tant il est vrai. combien tant on doit toujours mettre un nouveau visage à chaque matin quand on est dans cet état. Est c'est pas évident de faire la comédie, de se mentir à soi et à autrui.
J'ai aimé cette lecture. Je souhaite que toi ou la dite personne de ton poème aie mieux
Sincèrement,
Celui qui se se crée dans cette succession de moments donnés
Il est des lieux (au travail par exemple) où lorsqu'un décès est survenu en sa famille, nous ne pouvons laisser nos émotions de tristesse transparaître et devons nous concentrer sur nos tâches et tu l'as très bien décrit... Les émotions sont en soi et restent présentes Merci de ce partage !
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