Au loin, le rythme d'une main sur une table en bois.
L'été est là.
Les horloges ont ralenti Leur Tic Tac effréné Un instant attendries Par mes mains levées
Le temps s'arrête sur une danse Sur le rire qui dévale mes joue Qui va se perdre dans les yeux De mes amies Et du ciel bleu
Silence
Musique
Quelques colombes gisent poignardées Comme autant de rêves abandonnés Mais l'espoir est toujours là Le temps ne me le prendra pas Car la foi demeure ici-bas La foi en l'homme et son combat
A l'aube de l'été Quand les jours promettent tant Je me surprends à sourire Aux neiges blanches d’antan
L'horloge à repris son tic-tac Laissant ce poème gravé Entre deux secondes De l'éternité
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. (Michel Audiard)
C'est tellement plein d'espoir et en tant qu'oiseau je partage ce que tu as écrit. Bises amicales ODE 31 - 17 Et la pendule rythme les battements de mon coeur Merci à toi
Ce poème suit vraiment un schéma intéressant que je rencontre dans tes quelques derniers poèmes. On a vraiment l'impression que tu es en train de trouver ton style et ta maturité dans tes textes.
"Le petit chaperon rouge a été mon premier amour. Je crois que, si j'avais pu l'épouser, j'aurais connu le parfait bonheur." Charles Dickens
C'est vrai, je pense que je suis en train de trouver un style... cependant, il est bien possible que dans un mois j'écrive tout a fait différemment ^^ l'esprit peut être volage...
Isabelle
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière. (Michel Audiard)
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