long, court mort ou fixe présent ou passé bon vieux temps dépassé ou consacré rebelle depuis la nuit des temps jamais vraiment révolu dans l’absolu qui se réchauffe se dégrade sans cesse menace puis se remet au beau incertain temps qui nous retient parfois dans ses pinces infernales puis estompe souvenirs et douleur car il se joue de nous ce banal mystère universel qui rythme nos saisons et dans la démesure défie l’infini ce temps qui dure puis s’envole s’arrête et n’a plus cours quand même après toujours on court.
Merci Isabelle, Jean-Louis, Lipstick Cindy et Maman Luciole d'être passés par là.
Je le voulais très court ce poème sur le temps qui court mais il m'a pris de court car n'en fait toujours qu'à sa tête; Il a beau se rengorger cette arête qui m'embête et qui me reste dans la gorge mais un de ces jours je lui ferai sa fête!
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