S'envolent les pensées, éclatent des bouquets D'épineuses roses qui viennent embrasser, Les duvets de rosée d'un angelot marin, Un mousse étouffé dans les flots du chagrin.
La faute aux rêves, ces douces chimères, Qui donnent des rires, aux âmes printanières, Mais aussi des larmes, aux minots apeurés, Quand vient l'étrangeté, du sombre des soirées.
Mais la nourricière chasse les désordres. Son balai de bisous remet tout en ordre. Et le coup de torchon jette son éponge, Asséchant des vagues, redonnant des songes.
Et un capitaine, digne de son bateau, Quittera le port, partira à nouveau, Vers l'aventure en des pays lointains, Gardé par sa maman et son ourson malin.
Vogue le navire, affronte les marées. Des blanches calanques, où les pensées ont pied, Vont toujours de pair avec un bras de mère Qui endort un ange, bercé par la mer.
Mais la nourricière chasse les désordres. Son balai de bisous remet tout en ordre. Et le coup de torchon jette son éponge, Asséchant des vagues, redonnant des songes.
Toujours entre ombres noires et cette douceur qui t'appartient si bien ! Magnifique pas en avant !
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