Vous aimiez tant les fleurs qu’elles vous étaient écloses, Les livres sont lointains et la chair enfin triste. Tout reste à découvrir mais le tard vient déjà, Toujours un peu pressé de se gaver de jours En gourmand indigent de vies peu différentes.
Il y avait les désirs, la peur a pris la main. A force de méprise on n’est plus devenir, Les renouveaux égaux des souffles maritimes Semblent eux-mêmes désarmés quand se révèle enfin Le poumon de cellules différentes et folles
Qui vont vers déliter l’organe prémédité. C’est sans doute par lui que s'enfuira le temps En dernier souffle craint mais toujours attendu. Tout cela n’est pas grave. Face au destin commun De la disparition, être vous va si bien.
Critiques négatives absolument reçues, il faut bien se construire.
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