« Aux termes du voyage, l’amour est un récif Où les mots malmenés par l’écume se brisent Les gestes à nos paroles s’accrochent au bord des pages Jusqu’à ce que le vent emporte notre esquif Jusqu’à ce que la mer à nos passions s’irise Et que les voiles au cœur nous survivions le temps d’atteindre enfin la plage… »
Lorsque le vent se lève, écho d'une inconnue c'est le temps de rêver et le cœur se soulève personne ne succombe de songes inattendus ça vaut bien d’écouter ce que le monde arpège... Tendrement les sursauts entres les événements se sont coordonnés, emportés dans le vent portés de souffles courts et d'espoirs aériens mélangés doucement, dessinés par ses mains là où le temps s’arrête, où les cœurs se dessinent entre tous ces moments où l'on croit voir plus loin mélanges appropriés de mirages et de signes ces rencontres improbables qui présagent demain. Ces saveurs d'avenir au creux des courants d'airs les frissons d'un encore qu'on ne voit toujours pas la douceur de l'instant quand le futur éclaire les prémisses innocentes de nos tous premiers pas. Quand le destin s'amuse à laisser des clins d’œil ce tourbillon grisant aux allures de caresse le sentiment étrange de ne plus être seul juste au pied de ses yeux, délicates adresses, l'avenir épousé sur le cœur et les mots l'air du temps qui s'emballe l'air de rien qu'un morceau un amour qu'on installe. le cours de nos pensées s'arrête au bord du ciel sur le point de tomber, recouvrant immobiles les sentiments qui dorment avant que se réveillent le jour et son soleil d'un battement de cils. Et puis s'envoleront les murs entre nous deux les yeux ouverts au vide, le destin joue le jeu Ces rencontres impossibles, improbables tendresses inattendus rappels que les chassés-croisés n'auront jamais été si pleins de nos promesses. Lumineuse escapade, l'idée si fugitive de croire au courbes ivres des rencontres aveugles le goût de l’aventure perlé de fleurs en givre ces faux premiers départs dont la vie nous abreuve
aujourd'hui c'est demain, comme on croit aux nuages au ciel et ses bourrasques, ses lumières et ses rêves emportés dans la nuit, mille et un grains de sable égrenant doucement ce temps qui nous sourit, qui mord et qui soulève le cœur un peu plus haut, toujours un peu plus loin aux confins encore flous du bout du bord du monde ces endroits légendaires où l'on a oublié le vide et le silence entre chaque seconde. décoller, voyager, sur les vagues empressées être deux sur l'instant comme un bateau sans voile au milieu d'une toile le son des grandes traversées, une étoile anonyme qui nous murmure un bruit « gardez les yeux ouverts dépassez l’horizon demain ce n'est qu'hier ajouté de passion. » Le son des choses, le son des gens les chemins devant soi débordés de musique les pas vers le couchant, ces voies que l'aube inonde les rumeurs de l'eau vive chuchotant les secondes qui me séparent de toi le ballet invisible qui fait tourner le monde danser les occasions de se croiser, peut-être, tergiverser les ondes malmener les oublis, les souvenirs à faire laisser percer l'aurore et son lot d'univers le monde de demain ; et toi dans une larme ressemble à une averse, rempli d’évocations, orchestration, vacarme, le bruit de tous les mots que l'on voudrait se dire ces morceaux pittoresques mélangés de silence comme une pause à soi, le début d'une danse commencée dans tes bras et les couleurs de l'aube, inaugurées soudain, se mettent à apparaître à la faveur du jour une fin de journée semblable à un matin le début d’une histoire semblable à de l'amour
Je me dis.... Que tu devrais un de ces quatre... Marier ta plume avec celle de Caelie... (à moins que vous l'ayez déjà fait...)... Je sais pas pourquoi... Mais je me dis que ça pourrait faire des miracles... (ou pas^^)
Inutile de dire que j'aime bien... (c'est pas évident ?^^)
Merci
Tilou
Elle me dit que mes guerres sont des fleurs fanées et qu'il reste une terre pour l'aimer ici bas
Bonjour à tous et merci de votre agréable passage. Tilou je t’avoue que tes conseils m’ont permis de découvrir avec plaisir cet auteur (auteure ?) J’ai le vice d’être peu enclin à la découverte, un coup de pouce m’est souvent le bienvenu. Je reconnais que nos univers semblent proches avec à son crédit un certain coté désabusé qui ne gâche rien. Si j’étais plus prolixe qui sait, c’est une bonne idée ; et c’est toujours enrichissant, j’ai encore la nostalgie de Miss Vipi ou encore de Marie-Michelle. Qui sait…
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