Et qu'éclate la tempête, je me retrouve désorientée, Comme une orpheline , enfant abandonnée, Dites-moi tous que refleurira ce capricieux été, Et que dans ma robe fleurie je ferai des envolées.
Car mon cœur, je le sens jeune et si léger Je fais des arabesques comme des fresques Et je m'envole au pays des empirées, Pour là-bas l'amour aller le rechercher.
Une tête garnie de beaux cheveux emmêlés Des yeux à faire pâlir et offrir ses sourires, Je tombe en pâmoison devant ce cupidon Qui sème l'amour comme tous les jours.
S'imagine déjà un heureux parcours En visitant ces îles de beauté lumineuse Dans lesquelles je me laisse languir Pour recréer de si bons souvenirs.
De rêver donnera réponse à l'avenir, Ce cupidon aimera certainement en sourire, Ce corps d'Apollon ne peut mentir Quand son visage cherche à resplendir !
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