Un regard malicieux qui se déguise en mot Accroche au passage un cœur volatil Qui rêve que l’espace se comble bientôt Par un geste osé, désiré, malhabile.
L’émotion du passé, me fait toucher du cœur Ces instants merveilleux qu’on ne peut oublier, Qui s’entremêlent en moi en morceaux de bonheur. Pensant naïvement, tourner le sablier.
Mais ses yeux maquillés en aurore boréale, M’invitaient au voyage et vers une autre vie. Émettaient des reflets irisés d’une opale Qui ont piégé mon cœur, mais qui en fut ravi.
Son corps était paré d’un beau rayon de lune, Dont ses si beaux cheveux épousaient l’harmonie. Nous entendions non loin, le vent flatter la Dune Après une tempête, qui fond en agonie.
Tous ces instants fragiles qui viennent vous hanter Il faut les préserver au fond de la mémoire, Pour protéger du blues qui peut désenchanter Le miroir de la vie, écho de notre histoire.
Aussi fugace fut-il ce regard accrocheur, A troublé mon aura et chatouillé mon âme Qui fut hypnotisé pour mon plus grand bonheur. Ma porte verrouillée a trouvé son sésame…
Le dernier ver est superbe !! (Le reste aussi mais cette chute est douce, abandonnée et pleine de promesses de rêves) Merci pour cette trouvaille! Amicalement Feu
le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages
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