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Une fleur de sang, pour tous les maux de la Terre |
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Au Nom de la Rose
Poèmes : 96
Commentaires : 1651
Connexions : 3031
Pages consultées : 50500
Type de compte
: Régulier
Membre depuis
: 21 décembre 2004
Dernière connexion : 10 déc 2022 à 16:56
Cet utilisateur est présentement hors ligne.
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Informations générales
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Nom : David
Sexe : Masculin  Lieu : Montréal, Qc ; mais surtout dans ma tête
Profession : Écriviste, Gribouilleur... de Folie
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Autres informations
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Film préféré : Amadeus
Style musical préféré
: Metal, Classique, rock, soft... et le son du ventre
Ecrivain ou poète préféré
: Paul Verlaine
Personnage de bande dessiné préféré
: Le Chat, de Geluck
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Passe-temps |
Lire, écrire, aquariophilie, zoothérapie, hémophilie.
Bizarreries.
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Son histoire |
Émile NelliganTriste, dépressif et nostalgique, le poète est souvent seul. Quand il n'est pas dans sa petite chambre de l'avenue Laval, il se promène au centre-ville ou aux marchés Bonsecours et Jacques-Cartier, s'arrêtant occasionnellement dans une église. On sait peu de choses de sa vie privée, à part qu'il ne semble pas avoir eu de femmes importantes dans sa vie (à part sa mère). Plusieurs de ses poèmes reflètent d'ailleurs ses rêveries amoureuses et sa hantise d'aimer. --- J'ai de ses defauts, quelques-unes de ses qualités. Il me manque la prestance, peut-être. Mais le mal de vivre ne s'apprend pas, il s'interiorise, il s'extériorise, il se vit. La folie me hante, de même.
J'ai peut-être eu plus de chance que lui, mais je n'ai pas su les saisir, ou les faire foisonner.
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Projets futurs |
L'écriture étant ma vie toute entière, devenir écrivain me semble le choix tout désigné.
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Autre |
Devant ton miroir, mon fils (écrit par ma mère)
Bercée, réchauffée par un doux souvenir
Blotti l’un contre l’autre devant ton miroir
Mon fils, mon tendre fils comme tu étais beau.
Me revoyant aujourd’hui froissée par les rides
Savourant en toi la tendresse
À cette heure où tu admires
La femme que je suis encore dans la lumière
Pour toi évidemment, malgré le temps
Un jour maman, toujours une mère
Même quand la vie me réduira en poussière.
Auteur : Danièle (ma mère)
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Mon rêve familier de Paul Verlaine
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend
Car elle me comprend, et mon coeur, transparent Pour elle seule, hélas! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule sait les rafraîchir, en pleurant.
Est-elle blonde, brune ou rousse? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila Son regard est pareil au regard des statues
Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues........
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Dernière entrée au journal
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Publi?e : 14 jan 2013 à 21:03 Titre : Je ne reviendrai pas - 6 commentaires sur cette entrée |
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Je suis parti longtemps, pour la deuxième fois depuis que je suis arrivé sur LPDP.
Je repasse comme ça, voir ce qui change. Mais je ne pense pas reposter un jour.
Sans trop savoir pourquoi, ce site n'est plus attachant.
Et puis, peut-être que je me ferai avoir, que je repasserai si souvent que je rétablirai une hutte permanente.
Mais franchement, je préférerais éviter.
Il y a quelque chose de malsain, ici, pour moi.
(C'est peut-être pour dire qu'il y a quelque chose de malsain, en moi, ici.) |
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Entrées antérieures
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