L'OO avait un goût à mer, les pires et les nains, soulevaient l'écume des écus perçus, au temps des taons cyniques, aussi crus qu'un doigt, par l'entremise d'un téméraire geste leste, dans les profondeurs d'un trou noir, là où L'Entreprise voguait, avec discrétion, vers des aventures rocambolesques et inédites, lorsqu'un faisceau de lumière apparu dans la lunette arrière d'un monstre bicéphale qui jouait à la marelle dans un champs de pyrex, ce qui le fit se tromper sur le lancer de sa formule magique, "skwykziroplum", qui ouvre les portes de la conscience, souveraine de la mémoire des mondes intergalactiques...
Pouf, le chien-lyre, léchait un orvet au cumin, devant des yeux de blob qui venait de traverser la tête d'une blonde chétive au faciès de raie, alors que des entités venues d'une autre galaxie photographiaient la bête en action, mais l'histoire ne dit pas qui fusa dès lors. Seuls les coro-canins, hybrides destinés à falsifier la réalité, celle qui chevauche chaque nuit, les jours ensoleillés des étés tropicaux, ont été créés pour que le troisième œil, en partant de l'omoplate du rugbyman, derrière la fesse gauche de la caissière qui regarde le nombril d'un crocodile en peau de pluie, qui nageait dans un bain de vapeur hypocondriaque, juste au-dessus du coude de Jésus, pendu à un fil barbelé, le long d'un baobab non déclaré par le guilde des pointdecroix, réalité toute relative, si on excepte les sautes d'humeur du photographe, sont identifiés par drones interposés...
Mais si le rayon arrière de la grand-mère, multiplié par Bruce Willis, sous tranxène, revient dans la gueule du loup, sans compter les révolutions cycliques des claques, des bourre-pifs et des tartes à moelle, on peut dire que l'histoire du monde est plus complexe, a priori, que la tête à Toto, sur le mur de la tranquillité, alors que je vous narre cette évidence, sur le parvis d'une église anglicane, une cane anglaise gambadait aveuglément, sous le soleil de minuit, un peu bourré, loin de sa campagne si chère, en attendant le lendemain de la bataille de Waterloo, le pont s'étant couvert d'un vert de laideron, nulle présence volatile, au-delà des spasmes d'un geai d'eau, les livres d'histoire se sont fermés, sans que Napoléon n'ai pu rendre sa carte d'identité à la préfecture d'Ajax-hiho, nouvelle cité cachée par la forêt d'Oz, en plein champs de pavots et de rastas exilés depuis juin...
Avec un nœud dans l'œil œdipe sifflait une dernière bière, fraichement servi par Lolotte Arie, barmaid parmi les clones de service à la gâchette facile, laissant son complexe au vestiaire et sa peau de balle au bestiaire, poussant l'absurde jusqu'à ses retranchements, un moins un égal à la base cérébrale d'une huitre creuse, tout ce qui se change en no étant à sciatique, susceptible de se métamorphoser en rosé médiane, voire en gin délavé, mais l'homme est contradictoire quand son état gère et banc calent, à l'aune d'une fusion confuse, d'une absorption spontanée de locomotion cérébrale, visant à déstabiliser les stylos, stylets à pisse et autres trombones à gazon, du mois de mai au toi d'été, alanguie sous la véranda creuse, le corps halé, à l'aise dans ton string bleu espadon, me soufflant un vent d'anisette au calamar, dans mon oreille pensive - avec le temps tout sent, vapeur et rillettes, même les chaussettes, les soupirs...
Les cinémas ont laissé leurs affiches se déchirer, par la pluie, fermés depuis la tornade "zambra", qui a détruit 99% du globe terrestre, sauf Quimper, qui coule des zours jeureux, avec la bouche et les sucettes éligibles, et la rivière pleine du matin au soir, mal rasée, par les tantes qui courent, c'est pas du luxe! Je ne vois que la voix qui s'éraille, depuis la gare esse-haine-ssssé-et feu, où je dors, avec mon chat et ma guitare sèche, sous un parasol en plume de poète mort, lisant dans la main du hasard, le destin des congres et des mares à casse, juste pour pouvoir avaler quelques substances à dresser les "je veux", sur la bouche des enfants qui reniflent à tue-tête devant l'amère Michelle qui chante a capella, la chanson des compagnons de Jéhu, qui distribuent des mornifles et des gnons par centaines aux zélateurs zémouriens, qui traversent l'écran cathodique, en faisant KKK dans leur parka déchirée par Le peine*...
* faute d'inattention, mais qui vaut plus qu'un long discours sur les glandes lacrymales face à l'animal extrêmement sournois qui vit dans le crane de nombreux cons-citoyens vranzais... (les autres fautes de français sont intentionnelles!)
Hubix. |