Écrire répond à un besoin profond, qui ne s'explique pas. Acte libérateur.
Le "père Hugo" avait tout vu pour écrire ce parfait alexandrin : "un poète est un monde enfermé dans un homme". Merci "Totor" ! Je t'offre cet acrostiche :
Prends ta lyre, poète
Oublie le monde bête
Et méchant
Suscite cette fête
Intimiste et parfaite
En ton chant
Gare à la dilatation de l'ego, fruit talé qui pourrit tout le panier. Je sais seulement que je ne sais rien.
Le bruit, fléau des fléaux.
Si tu ne peux aimer, essaie de ne pas haïr.
Ce que, faute de vocable adapté, nous nommons "hasard" ne répond peut-être qu'à une nécessité dont la finalité nous échappe.