Type de compte
: Privilège Membre depuis
: 25 juillet 2008 Dernière connexion : 26 févr à 18:16
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Informations générales
Date de naissance
: 13 mars 1965 Sexe : Masculin Lieu : Trou sur Layon
Autres informations
Film préféré : Buffet Froid Style musical préféré
: Je suis chanson francophone et jazz classique Ecrivain ou poète préféré
: Brassensophile Personnage de bande dessiné préféré
: Tout Gotlib, Carmen Cru, les Goblins...
Passe-temps
La vile aigrette (Haicoucou)
La mer d’huile est à Rachid c’est évident ! Mais pour savoir à qui est le vinaigre Il faudrait être devin.
Plumes poivres et sels, Une vile aigrette Caresse mes salades.
L’hippo…Thèse (Haicoucou)
Pour qu’un hippocampe Il faut tout d’abord trouver un Hippo. Un bel hippo potable, Et une belle toile de tente.
Puis ajouter son grain de sel.
Bref, si t’as l’hippo T’as la muse.
Son histoire
Ventouse
Sur ma page abandonnée L’air de rien avunculaire.
Je suis l’oncle incarné Qu’hélas une tante accule. Si, si… J’en ai la pieuvre, C’est elle qu’a l’amarre…
Alors tout en jetant l’encre, Tristement je bats mon poulpe…
Projets futurs
Etre à tu et à toi… avec vous
Madame, Jamais je ne vous vois. Le virtuel à ses lois, Je ne vous connais pas Alors, je vous vouvoie.
Madame, Ce n’est qu’un choix. Et ça me tue parfois, De ne pas te dire : toi, Je l’avoue.
Madame, De vous à moi, Je vous rime déjà. Même si je vous vouvoie, Je suis têtu parfois…
Madame, Croyez moi. Ca ne vous vieillit pas, D’être si loin de moi. Je vous voue
Madame, Un respect adéquat. Vouvoyions nous crois moi, Sous tes mots j’t’aperçois, Et vous… vous voyez moi
Ecrit en novembre 2008 à J'oséphine
Autre
Il était une fois, Deux foies. Sans foi ni loi.
On les voyait quelquefois Promener leur haleine de verre Dans les bars et estaminets de naguère.
Sans se faire de bile Toute la journée Ils s’offraient des tournées. Une par foie A la fois !
Foi d’ivrogne ils se plaisaient !
Ils se plurent tant et tant, Qu’ils en eurent une fillette. Un bébé si rose, si rose…
Ils l’arrosèrent, Comme il se boit ! Mais soudain lucides Ils eurent les foies.
Alors, pour éviter qu’elle ne trinque, Ils la jetèrent dans un fleuve…
L’enfant survécue ma foi, Recueillie par je ne sais qui. Comme quoi…
Au café LPDP depuis dix ans déjà je fréquente le comptoir. Comme tout le monde ici, j’apporte ma quote part. J’y apporte mes poèmes et j’y bois la vie dans les vers des autres et je commente aussi. Ici chacun y va de son petit mot, la larme à l’œil ou le rire franc. On amène un ressenti, insipide ou percutant ; parfois même cruel mais toujours bienveillant. : jeu de maux, jeux de mots, tu apportes ton monde, de pseudos en humeurs on ne cherche qu’à vibrer avec pour seule passion, celle d’écrire et de partager. On y croise du monde aussi… Il y a les habitués, les piliers, le timide, l’effronté, les âmes seules en recherche, quelques désespérés, les vrais soleils, les comme la lune, certains lyriques qui vous soulèvent le cœur, des naïfs, des petits airs frondeurs... Là, un lugubre, ici deux névrosés, un poète maudit, même trois rimeurs avérés. Et puis toi... Oh toi, toi et puis toi aussi que j’ai miraculeusement rencontré et depuis jalousement gardé là tout au fond de moi… Évidemment il y a ceux qu’on aimerait, ceux qui exaspèrent, les toujours, les jamais, les abscons, les mémères, et tant d’autres encore… A chacun sa liste p’tit père ! Que tu viennes masqué ou bien à découvert, un quatrain, deux sonnets sois sûr qu'à toute heure, t’auras toujours un couvert. Moi, j’y passe certains soirs, un peu nostalgique déjà de tous ceux qui sont partis. Je viens y retrouver des plumes, tout un univers d’émotions de gens que je ne connais pas (ou si peu) et que pourtant j’apprécie parce qu'ils font partie intégrante de ma vie. L’activité de ce café est toujours intense et peu m’importe qu’il change de visage. Au centre, quelques grandes tablées le font toujours vivre au présent. Et pour moi, c’est bien ça le plus important ! Oh bien sûr on vous dira qu’hier, vous lirez que jadis… Pour moi je ne sais rien d’hier et jadis est bien vieux. Mais les textes eux sont vivants, le reste importe peu. Au café LPDP depuis dix ans déjà je fréquente le comptoir et il y fait bon vivre et je suis bien certain que je viendrai longtemps.
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