Croyants, athées ou forbans

Comptez les jours, dubitatifs,

Qui nous verront sauter tout banc

Quand trop d’étoiles dans le ciel

Débordent nos chœurs primitifs

Ou quand des feux et des crécelles

Tiennent la nuit dans leurs haubans,

Nuit glisse à ses enfants craintifs :

« Ose un tour sur ma balancelle »!

Salut MarYjo. Au fond tous les discours sont vains pour expliquer le vertige qui nous lie tous humains. Merci d'être venue sur la pointe des pieds. verso

"Il n'y a pas de mort vaine
Il n'y a que des vies mal vécues !"-Moi-même

J'ai toujours cru que ce vertige existentiel qui nous remue doit pouvoir contribuer à la connaissance, et que celle-ci soit perpétuée par nos enfants. La mort représente l'arrêt de la vie, lorsqu'elle a été vécue sans épanouissement. La mort représente la chance à une autre vie de s'exprimer : c'est celle de notre descendance.

Oui Verso, cette nuit nous est commune, lorsque l'humanité s'assombrit "comme une nuit".

J'ai aimé ma lecture. Mes meilleurs voeux pour 2007

Amicalement

Yvano

Sans doute Yvan Chopi, à te lire, entre grand saut et carrousel nous nous tentons d'apprivoiser notre nuit par les jours échappés de notre temps d'humanité. Merci de ta ligne. verso