Les oiseaux-lyres sont en deuil sur le ciel bas ; Comme un flocon d’amour, une larme poudroie ; Longtemps, longtemps, toujours, tu tourbillonneras, Neige tombée d’un cœur, ô larme qui tournoie !
Comme un flocon d’amour, une larme poudroie, Dans l’azur assombri que le soleil a bu ; Neige tombée d’un cœur, ô larme qui tournoie, Retourne aux cieux, veux-tu, rhabille ce cœur nu !
Dans l’azur assombri que le soleil a bu, Le poète est assis, guettant le rayon vert. Retourne aux cieux veux-tu, rhabille ce cœur nu, Silence qui coule blanc dans le froid de l’hiver !
Le poète est assis, guettant le rayon vert Et parfois il sourit au bras de solitude : Silence qui coule blanc dans le froid de l’hiver, Tu cesseras un jour, car tout est finitude.
Chère Myo,
je n'aime pas beaucoup les formes fixes, mais le pantoum a du charme et exprime beaucoup de choses ... Si besoin, j'ai une doc (mais pas difficile à trouver).
Par contre, gaffe aux rimes de départ car après on les traîne jusqu'à la fin !
J'ai eu un instant d'extase. Un poème qui me touche Je n'étais pas là à cette date, mais aujourd'hui, je ne peux que relire ce poème que j'apprécie beaucoup. ODE 31 - 17
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