A la frontière des temps mythiques, Filles du dieu Arès et de Naïade Harmonie, Elles demeuraient dans les montagnes d'Amazonie, Splendides chasseresses et guerrières fantastiques.
Dépeintes par les grecs comme des femmes-animales, Elles furent les premières féministes de l'histoire, Sachant combattre pour détenir seules le pouvoir, Perçues comme les égales et les ennemies des mâles !
Ces hommes-esclaves, serviteurs de tous leurs plaisirs, Elles pouvaient avoir autant de maris que d'amants Puisqu'elles tenaient le principal rôle du soupirant.
Armées d'arcs de bronze et de boucliers demi-lune, Pour faire la guerre, elles sacrifièrent un sein avec courage, Ces cavalières ne voulaient être apprivoisées car fières sauvages.
Hommage à un astre brillant qui continue de nous émerveiller…
De la part de toute l’équipe, nous tenons à célébrer ce jour qui aurait été son 37ème anniversaire en vous présentant ses œuvres les plus significatives. Si ce poème vous a touché, nous vous invitons à consulter sa liste de poème Ici…
Il n'y a pas que les mots qui peuvent s'envoler, les pensées aussi...
Tes vers sont fluides, un sujet qui m'interpelle aussi ! Ton poème m'a poussé à me renseigner davantage et... Elles se coupaient un sein pour faciliter le tir à l'arc ?? mais... sont malades ! Une lecture intéressante en tout cas ! Amicalement Jonathan
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