. Ma prière, Ô Vide, est pour toi,
. Elle est fiel, serpent sortant de ma voix,
. Vilenie caverneuse, idées brisées,
. Néant, s’il te plaît veux-tu m’embrasser ?

. Le jour m’encombre, trop noir sans soleil,
. Je tombe, silence me tuant l’oreille.
. J’ai cousu les rivières de mes yeux,
. Je voulais voir, par les siens, mes vœux.

. Prière à toi, où le temps se fait blême…
. Je ne peux vivre un instant sans sa main ;
. Sans ses yeux je ne pourrai voir demain.

. Dieu, divin espoir, je l’aime, je l’aime…
. Ma vie sans ses sourires n’est plus rien ;
. Qu’un enfant pauvre sans miette de pain.

Meganyss :: 15/07/2004

Marie-Eve,

Toute la détresse de l'amour impossible dans ce triste sonnet...

Des mots touchants, l'expression d'une âme blessée..

Bravo Méga. , c'est très très bien écrit.

Merci Nuages,
Merci Myo

Si triste et si beau
J'ai adoré
Serge.

Un : "Rien" qui n'est pas rien...
Vis-tu cent vies à la fois ?
Car tu ne peux imaginer tout çà

Bravo en tout cas !
Janus

C'est très touchant de voir autant de sensibilité, de désir et de passion dans un seul poème.

J'aime beaucoup aussi les métaphores que tu as utilisé !

Bien à toi,

Sébastien

Merci serge, d'être passé

Janus... trop de situations particulières dans une vie nous donne parfois, oui, l'impression d'en vivre plus d'une (vie), mais bon... Il serait bien de pouvoir choisir les situations et donc le fil qui conduierait notre vie... Merci de me lire autant... et de me laisser le savoir !

Merci Sébastien... contente d'avoir été lue de toi.

Meg,
Tu es poète, et tu seras écrivaine
De cela je suis sûr, et je te suis
Avec amitié
Janus

Oh Janus... tu avais laissé un message... je suis si tardive ! Merci beaucoup... en plus un si doux message... je suis vraiment contente...

Merchi beaucoup.