Ne pleure pas c'est pas la peine Je sais que le monde est pourri Que les branches se cassent Et qu'on abat les chênes…
Mais ne pleure plus Je suis là Je sais c'est pas grande chose Rien qu'une main qui prend la tienne
Rien qu'un sourire pour t'éclairer Rien qu'une voix à ton silence Entre les ondes téléphoniques Rien que mes mots sur ton écran.
Je sais tu es tout seul Et les oiseaux finissent toujours par s'envoler Et celles que tu veux ne veulent plus Et le ciel est si vide en cette nuit muette !…
Je sais tu voudrais tant Une comme moi qui t'aimerait Et qui saurait tous tes secrets Qui aurait le visage de tes rêves…
Tant pis, pleure, je suis toujours là Je saurai bien te relever Je suis assez forte tu sais bien Et ne crains plus l'Amour.
Pleure tant que tu voudras Je te consolerai Je te raconterai l'histoire D'un prince revenu de tout.
Petit prince n'abandonne pas Qu'importe le monde et l'horreur Qu'importe le mal et l'injustice Lorsqu'un seul homme en est un vrai !
Petit prince reprends ton épée Moi je sais que tu t'en sers jamais Sauf pour défendre vie et honneur Petit prince je t'en prie, ne pleure plus…
Ton poème est plein de douceurs, de tendresses, d'affections et d'amour. On ressent tout cela lors de sa lecture, il est agréable, on a même envie de t'aider à consoller ton petit prince ...
PS : Néanmoins, un seul "hic" : la phrase "Lorsqu'un seul homme en est un vrai !" que j'ai un peu de mal à saisir ... ? Je me sens un peu bête là ...
Merci Valter pour cet élan...je suis heureuseq ue ce poème, différent des autres que j'ai écrits par son ton et son style, te plaise aussi.
Tu as raison, mon p'tit frère sera jamais tout seul tant que je vivrai ! Mais, comme à tous ceux que j'aime et qui traversent une période difficile, je souhaite son bonheur auprès de personne de ses rêves.
Seb, je suis touchée que tu apprécies avec tant de sentiments mon poème...Qu'est-ce que t'as pas compris dans cette expression ? J'ai du mal à voir où peut se loger une confusion...eclaire-moi et je te dirai ce que j'ai voulu dire ! Mais bon, je pense sincèrement que tu peux le saisir seul...
Bientôt les flots emporteront
L'éclat de tes sanglots
A Brest le navire s'en ira vers d'autres hémisphères
Mais dans la capitale chaque jour je t'attendrai...
Merci David pour ton commentaire en lumière...J'ai toujours autant de bonheur lorsque je vois ton nom écrit en ba sd'un de mes poèmes, comme une petite clarté et un sourire...
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