Mes cahiers de papiers étaient blancs comme neige, Ombres noires s’y posèrent en lettrages indiscrets, Rotations, tourbillons, poésies en cortèges, Textes vifs et sans noms mutilant mes secrets…
Et s’envolent en bateau les encres de mon âme, N’oubliant de mes larmes que ces veines en lambeaux…
Avalanche meurtrière au découd des tonnerres, Volant droit vers la Nyx qu’on voulut décousue, Avalant de ma vie plus que des pages entières, L’éternel des envies qui m’avaient survécu…
Et s’envolent en bateau les encres de mon âme,
N’oubliant de mes larmes que ces veines en lambeaux…
Tout le malaise de l'écrivain est résumé dans ces deux phrases, c' est tres dur d'exprimer pleins d'émotions en essayant de les coucher sur du papier muet...
Darien, merci pour ton passage et aussi les quelques mots de qualité laissés derrière tes pas. Je suis heureuse que mes mots t'aient plu.
Pour répondre à ta question, c'était peut-être... une délivrance pour mieux renaitre ? quoi qu'il en soit, merci.
......
Ulysse, merci toi aussi de m'avoir accordé ton attention. Ca me touche beaucoup. Et c'était sous le coup de ce malaise que tu as déchifré que j'écrivais... merci de m'avoir lu, et de m'avoir fait savoir que tu ne m'avais pas juste lue... mais vue et écoutée, comprise. C,est une agréable sensation... merci.
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