Irai-je m’étendre aux portes de l’enfer une seconde fois
Pour quelques sourires
Pour quelques mots

Devenir infidèle à ses propres lois
Oublier la promesse et les jours
Passés

Que fait-on quand l’hiver est à la fenêtre
Quand le train déraille et quand il laisse
des traces
de ses rouages sur notre peau
Que fait-on de la Liberté à peine goûtée,
du bleu, du mauve, quand il s’écoule
de nos ongles
par les coins

Il faut s’attendre au pire
Il faut s’attendre au pire

Quand le parc et les feuilles de verre
Se replieront
Sous un banc doré,
Sous un verre cassé
Le clochard et son messie s’éteignent
Je taille un fusil de plomb
à la porte du métro,
à la gare et au train
J’ai mal

Il faut s’attendre au pire.


10 dec.

Citation de Thib

La liberté c'est douloureux des fois

Toujours...

(merci lumière)

Thib,
Si, c'est douloureux... mais la perdre l'est encore plus (je crois ?)
enfin je ne sais plus
mais merci à toi.

Anne-Lau,
Merci...

Kajak,
La Liberté s'apprend... biensûr qu'elle s'apprend. Parfois mal, mais elle s'apprend tout de même...
merci pour tes mots.

Ah ! la liberté, existerai vraiment ou n'est-ce que du suggéré.
Ton poème ma fait réfléchir au fondement même de la liberté c'est à dire... dieu.

Est-ce le but, je ne sais pas, en tout cas merci de cette saveur.

Est-ce le but ? Je ne sais pas non plus.
En tout cas cela s'en approche, c'est certain.

Merci du passage et des mots.

Je vais le garder pas loin de moi, celui-là... Pour le relire au besoin...

* j'aime *





et belle année et plein de choses hein

Tilou

très beau a lire , une liberté très fliquée
la voila notre liberté
un coup de coeur

j'ai aimé ma lecture
merci pour ce partage

j'ai passé un bon moment amitié

james

Tilou,
Merci...
(bonne année à toi aussi )


James,
Merci du passage et de ces quelques mots.
Je t'embrasse.