Je ne parle plus ma langue Le jour fait la sieste à chacun de mes rêves Vie ou trépas Allant vers différence Au détour de ceux qui sont restés les mêmes
Coeur et combat...
Plus de nuits pour s'étendre L'horloge du néant me sonne le treize Minuit déjà ! Pas de compte à me rendre Au contour du cadran mes yeux s'entremêlent
Coeur et combat...
Un cil bat sous la lampe L'autre endormi en mon cerne s'empêtre Souffle sursoit Mon oreille peut l'entendre Le vide me prend à la gorge comme un traître
Coeur se débat...
Dans sa rouge innocence Le champ des rêves est sans garde champêtre L'aube sur moi Apparaît plus latente Mes sens se réveillent dans le sens contraire.
Coeur qui déploie...
Des restants d'existence Midi est l'hôte des soirs qui s'empêchent Flèche de bois L'arc se tend des souffrances Le choix des couleurs se retrouvent sans maître.
Martin
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
Il m'a fallu le relire pour entrer dans le fond, parce que j'étais prise dans le rythme en alternance des sons.. allié à la structure en balancier tic tac ....
Une belle trouvaille !!!!
Si l'amour s'écrivait avec des grains de sable, j'en écrirais des plages et des plages...
J'ai essayé de faire différent de ce que je fais habituellement. Je sais que le rythme est dur à trouver cela gâche un peu le poème. Mais bon il s'agit d'arythmie cardiaque
Vos commentaires font toujours aussi chaud à ce coeur qui en est pris.
Merci encore.
Martin
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
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