Le souffle du vent est un vrai sortilège...
Il caresse et gifle, murmure et hurle et lorsqu'il tourbillonne autour de nous, le coeur fait boum boum, les yeux piquent et la peau se satine....
Heu ... ça souffle, en effet Fort ... tu sais je suis dans un microclimat, un peu tempéré. Suis une vieille dame moi ma belle faut qu'je fasse attention à mes z'os. Arthrose, peines de coeur, à mon âge, c'est dangereux. Bref petite laine pour les jours grands froids et pour les jours petite bise piquante du matin.
Pour le reste, je n'ai pas encore retrouvé mon souffle. Celui de la passionnée. J'en ai marre d'ailleurs de me découvrir tous les matins avec un "zut, c'est pas encore pour aujourd'hui".
Gros bisous
Merci
J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ça qui m'a rendu le plus heureux. Jules Renard
Un sortilège, c'est assez ça
Un conte, une histoire qu'on s'invente en écoutant le vent.
Mais on aime ça, hein, chère amie C'est une histoire de sensibilité cutanée peut-être. Le vent passe dessus et on fait le tour du monde
Gros bisous, passe une belle journée et mille mercis pour ton passage en mes mots
Anne
J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ça qui m'a rendu le plus heureux. Jules Renard
J'attends que celui qui les a inspirés me les retransfère. Certains d'entre-eux me manquent aussi
Ou peut-être irais-je les chercher au grenier ... tiens ça me rappelle qlq chose
Gros bisous ma belle puis tu sais, il parait qu'elle revient quand on s'y attend le moins ...
J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ça qui m'a rendu le plus heureux. Jules Renard
j'apprécie beaucoup ton poème,j'y retrouve tous les mots que j'aime;chemin,mains,caresses,efface,le temps,la tendresse...
La première et la dernière strophes sont délicieuses.
Remplir ton coeur de cette passion Pure Enfantine Sans raison
Superbe poeme, j'ai adoré, bravo et ce titre que je trouve assez en contradiction avec lui meme "reste comme le vent", ce vent que l'on ne peut qualifier ni cerner, serai ce un vent lunatique qui suit la course de l'amour en tout cas il nous donne cette impression de vivre, et de la part d'un marin rester comme le vent est si complet mais aussi si léger quel magnifique poeme vraiment.
Merci Petit Prince,
C'est vrai que le vent est un intime de la liberté.
Du moins, dans nos imagiers
Il réveille quelque chose d'animal en nous, je pense. De puissant.
Je le sentais fort avec les chevaux. Lorsqu'il y avait du vent, même les plus soumis, les plus calmes, retrouvaient une part de leur "sauvage". De leur insaisissable.
Amicalement,
Anne
J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ça qui m'a rendu le plus heureux. Jules Renard
un jour il se fait tempête et on y resiste plus, mais comme la tempête, il ne se forme pas à volonté, il faut la concurrence de beaucoup de choses...
Une poésie de passionnée! Merveilleux....
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