Cette fleur sauvage qui si timide Cache sous le bleu argent de ses pétales Un regard divin et enchanteur Ses yeux brillent de mille feux Tels des diamants dans un écrin Ce sont eux qui versent sur mon coeur Un charme calme et lénifiant Que s'il fait monter aux yeux les larmes A le pouvoir d'apaiser tout autant Eux que je pleure d'être séparé si longtemps Elle devient une influence universelle Un principe de vie intense si rare Pour le plus commun des mortels Alors de nouveau, j'ai foi en l'espérance Qui, par sa magie, exalte Les millions de mystères de la nature Les plus beaux comme les plus terribles Elle qui adoucit mes chagrins les plus intimes Berce ma peine au delà du malheur Et me donne la force d'endurer Ce que de naissance je dois subir Je vois briller les splendeurs du ciel Et cette foi brillante à leur égal, m'arme contre la peur Alors,vaines sont les mille croyances Qui agite le coeur humain, indiciblement vaines... Aussi inaptes que la plus futile écume Sur l'océan infini.
Je manque vraiment d'inspiration, alors je ne dis rien mais je n'en pense pas moins que...c'est très doux.
Juste une remarque sur le texte: j'aurais plutôt envie d'écrire "qui s'il fait monter aux yeux les larmes" à la place de "que".
Sa présence illumine chacun de ets vers, tel un parfum ennivrant et léger qui flotterait sur les cîmes de lumière...On est sous le charme, fasciné par celle que tu décris et dévoiles, à la fois mystérieuse, protectrice et toute puissante.
La foi et l'amour qui t'habitent auront raison de son absence et sauront l'appeler, Idem...
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