comme un rocher écervelé, elle te regarde l'angoisse comment peux-tu alors chanter toi qui découvre la lumière en mugissant... alors de peu de joie comme le désert de quelques gouttes contente-toi... mais prise d'un passant sourire autant que ta chair puisse enfermer ton sang fluide, rouge et terne...
et l'aigle des cieux ne voit le sol que pour s'en éloigner encore... et des temps miroirs à un éclipse de ses ailes il voile le soleil... pour voir clair n'existe mieux que la nuit d'une ombre des hauteurs... et je me dissous tel le bonheur dans toutes les choses... qu'importe le jour ou bien la nuit encore plus... pour l'aigle qui nage sous l'azur toujours à soi-même pareil...
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
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