Ton cou
Chaud
À mes lèvres.

Il y en aura d’autres, alors
Il y en aura d’autres,
Des chances

Car j’ai manqué celle-ci
Encore


La solitude se mange.

***

J’ai vibré à la berceuse de tes cordes vocales
C’est doux comme la neige et tu chantes
Un peu à la manière des violons.

C’est quand tes yeux
M’aiment, que je les oublie.
Pourquoi
N’ai-je plus dieu pour eux
Quand Dieu a les siens ici

Ton jeu d'échelles à fenêtres a échoué,
La mienne était fermée

T’as rangé ton archet
Et moi tes yeux
Dans ma poche.

J'ai aimé.


Si la solitude se mange, j’en ai un bol complet.

Et quand on la croque, ça fait pas scrountch scrountch...

*merci ma belle, je me reconnais tellement dans tes mots*

"la solitude se mange, j'en ai un bol complet"
... mais se digère t'elle ???

Original et fin... merci

pas mieux, original et faim !

j'aime beaucoup ces mots là !

j'en aime le style de ton poème infiniment !
Amitiés, Marie

Nullepart,
merci.

Lux,
je suis particulièrement touchée par ce commentaire.
"une douceur qui gifle, qui défriche"
Juste merci. Tes passages me font du bien.


Ellea Lee,
bon point, j'y avais pas pensé...
(non, j'crois qu'elle se digère mal pour ceux qui sont pas habitués de manger cru)
merci.


edna:
Non, aucun goût... et c'est horrible...


Mariesarah, saba'obab:
Merci infiniment.

Oooooooh!
Myriam Myriam

T ai la femme de ma vie

Il est merveilleux!

Jade :
hihi merci ma belle


Poussin :
Oh merci... je la trouve un peu tirée par les cheveux, la fin, mais le message me plaît bien... merci.


Headache :
(merci)