Lorsqu'on ouvre les yeux, sans oublier ses voeux, Rien de bien merveilleux dès que l'on sait ces jeux, Ceux des Hommes, ces Dieux, à l'ego merveilleux. Même les fleurs s'effacent, et le poids du passé Dépasse la pensée, aux aléas du dé. L'écume, souvenirs, ce rêve, Liberté...
Les saisons reviennent dans un brassage hideux L'inspiration en berne, l'être paresseux Ça, moi, sur-moi, des concepts si présomptueux Les introjecter ou bien pavés rejetés ? Des plans contraints, des combinaisons chahutées Un canular ? Non. Des entraves à dépasser.
Et les gens s'en moquent et vérité s'entrechoque. La mise est bien habile à l'étrange équivoque, Émise en outrance vile en ce monde baroque. Les nuages se percent enluminés de toi, Je ne crois à rien d'autre autrement qu'à la loi Qui nous dicte en apôtres sans réponses au Pourquoi.
Cette ambiguïté se heurte contre le roc L'ambivalence flagrante usinée en un stock Tes gênes voraces, en carafe, sur les docks Répercutent l'écho des questions dans le froid Bénéfice du doute ? Entretenons la foi Qui nous désunirait et en vertu de quoi ?
Merci à tous pour vos sympathiques mots sous nos deux plumes, qui s accordent bien, je dois l avouer... Je remercie Catherine de ce joli duo qui m a beaucoup plu, un bel exercice... Amitiés à vous tous, Du bonheur, de la paix, de l amour, et beaucoup plus! Ludo...
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