Pardon pour ces mots Qu’on n’a guère compris Et pour les autres mots Qu’on a mal compris Et ces quelques sons qui résonnent Qui me guettent encore et me sonnent Pardon de les avoir crus
Pardon pour l’odieux silence Qui souvent me révoque Pardon à toutes les dolences Que souvent, je les croque Et à ces humbles révérences En vacarme ou en silence Qu’on n’a jamais crues
Pardon pour tous ces airs Qui manquent de couleurs Pour ne pas donner l’air Et se mentir en douceur Et tous ces traits d’espoirs Sans couleurs tel un miroir Pardon de m’y être vu
Pardon pour toutes ces manières Sèches et de tout éclat Pardon pour ces frontières Au-delà, le horla Et ces ravissantes aux apparats Entre clerc et scélérat Pardon de m’y être revu
Pardon à toutes ces chimères Qui charment par des rondes cages Et exaltent au-delà des nuages Des cœurs de feu et de pierre Et tous ces vilains mages Qui font des cages, des nuages Pardon de les avoir crus
Pardon à ces révérences dolentes Pardon pour le silence qui se plante Pardon pour ces mots qui manièrent Pardon pour les faux airs Et aux vraies chimères
Pardon pour tous ces rêves Qu’on fait naître de rien Et qu’on caresse sans trêve Et qu’on délaisse pour rien Et ces oreillers satrapes Qui paralysent la nuit et attrapent La lueur du jour qu’ellent sapent
Pardon pour tous les rires Qui meurtrissent la bonté Et comme ça, elle meurt de rire ; Et aussi aux quelques rires Qui quittent un cœur, un corps torrides Pour épouser le glacé … le livide Et c’est ainsi qu’ils expirent
Pardon pour ces sourires Qui animent les alentours Figés tel un trophée Pardon à certains sourires Qui espèrent leur tour Et évoquent un Orphée
Pardon à ces espérances Ecrasées par : tous les jours, Et dans ce ciel d’indifférence Une étoile qui se fait jour Fait rêver les amoureux Et disparaît au petit jour
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
Tu es tout pardonné Mourad, car rêver, croire, espérer c'est ce qu'on fait sans doute de mieux sur terre avec l'amour, même si souvent cela nous fait souffrir ...
Megliu dà que prumette (proverbe corse) - Traduction : C'est mieux de donner que de promettre
merci beaucoup mes amies, tant j'ai aimé votre encouragement et votre soutien, tant j'aimerais toujours être à la hauteur de vos attentes. vous ne pourrez pas imaginer à quel point je suis heureux amicalement....Mourad
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
je comprends poétesse.... je ne veux pas que mon poème te fera un tel effet...seulement s'il portera tous ce qui pourrait t'affliger amicalement...Mourad
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
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