Brûler nos vies dans les flammes des ennuis… Et si je me casse, je me tire… Je me casse la gueule… Je me tire une balle. Tout explose, m’implose, morose les jours se suivent en noir et gris. Une main t’attrape pour te lever vers le soleil, Elle te brûle les ailes, Puis, Le tout consumé se lâche et ton coeur, sous trappe se gave de pissenlit par la racine. Ton corps continue son programme de machine. Mais se courbe l’échine, et s’enfoncent les épines dans ton ventre poupée vaudou. Envie de voler et d’écorcher les nuages, qu’ils saignent sur tes joues. C’est une nuée de désillusion qui rejoint un mirage de tempête. Et puis quand je serre dans mes bras celle qui dans son ventre me porta. J’entends un doux tambourinement, une musique maternelle. Mon héroïne a du souffle. Mon héroïne a du cœur. Elle a un souffle au coeur qui balaie mon sourire. Je souhaite qu’il ne soit qu’une infime brise. Une brise qui se brise… Et n’étouffe pas le son sourd du métronome de vie...
De le tristesse dans ton coeur, je comprends tes ressentis, puisse son coeur battre très très longtemps.Okana tendresse.C'COEUR
Et puis quand je serre dans mes bras celle qui dans son ventre me porta. J’entends un doux tambourinement, une musique maternelle. Mon héroïne a du souffle. Mon héroïne a du cœur. Elle a un souffle au coeur qui balaie mon sourire. Je souhaite qu’il ne soit qu’une infime brise. Une brise qui se brise… Et n’étouffe pas le son sourd du métronome de vie...
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.