Maligne a une jupette
Qui lui va à ravir
Elle vient dans ma maison
le soir après la sieste
Et s'assied à réfléchir
Sur ma fin de saison

Elle prend un air sérieux
En regardant ma pomme
Hésite à rire ou non
Quand le noir de mes yeux
Dans un latin sitcom
Lui dit qu'elle est canon

Elle est toujours en tête
Et son ombre est espiègle
Autour de mon chariot
Partout des pâquerettes
Sur mes terres de seigle
Font un printemps rideau

j'adore ta facon de traiter un tel sujet, je dirai qu'il n'y a pas quelle qui soit espiegle
content de te revoir Verso
amitié
jc

merci j'ai apprécié, ily a un air de légèreté là dedans qui me plaît bien, amitiés à toi de clo

Bonjour chers amis.
Un poème à peine sorti de sa boîte est comme une paire de souliers neufs. Il faut les former. Parfois de petits réajustements nous semblent utiles, histoire de les voir mieux aller. C'est ainsi qu'en cordonnier de passage je découvre vos deux témoignages:

Salut Rimarien, c'est un vrai plaisir d'être commenté par une telle amitié. Merci. verso

Coucou latortue59, ton appréciation est une caresse. Amitié. verso

Me réjoui de vous lire ou relire ce soir...

Il y a bien longtemps que je ne suis pas venu sur tes textes, le plaisir est toujours intact.

Amitiés.
Patrick.

Quel bon vent et quelle fortune s'échangent les navigateurs. Merci de l'escale. verso

Vraiment très joli...

Je m'en vais en lire d'autres...

Amicalement,
Fanny

Salut Fanny...Authentisss,
Merci de ta visite et de cet échange. Réplique. verso

j'aime beaucoup ton style léger et aérien. Je viens de lire quelqu'autres de tes poèmes, et j'ai apprécié mes lectures.
Merci beaucoup

Bonjour Viridiane,
Ton commentaire est un bon feu en ce temps de novembre. Merci. J'aime ton pseudo. Poétiquement androgyne. En échange mutuel, ton prochain lecteur, verso

Aérien est le mot qui me vient quand je lis cette fraîche poésie....merci...Alex

J'étais pourtant persuadée être passée par ici.
J'aime bcp celui là , la fraîcheur , la légèreté, qui s'en dégage.Mais aussi de la détresse.
Cela me fait penser à Victorio Gassman, au milieu de fraîches jeunes filles jouant à colin maillard, dans "Parfum de femme";
Me demande pas pourquoi..

Je viendrai lire les autres, pas ce soir , trop lasse.

Bonsoir Alphonse Blaise.

Ta venue est un source de joie et ton commentaire apprécié. verso

Bonsoir troublée.

Grand film, je l'adore. Sans doute, livrés à nous seuls, sommes rien et peur de ce vide. On peut bien meubler de façon artiste ou savante ce maintenant ici et tout à l'heure. "Ondement". verso

Merci Démone de ta visite ainsi fleurie. verso