Il y a des regards qui touchent, pour un jour Pour toujours, Même loin, même éphémères Ils restent présents comme une image caresse, Comme une issue de secours, Comme un dernier recours, Avant le plongeon vitesse. Il existe des cordes qui ne sont pas là, Pour nous pendre, Mais pour nous reprendre en cas de chute,
Alors, chut…
Laisse moi savourer ce que la vie a fait de surprenant. Ton sourire, prenant, et sûr, ou pas tant que ça.
Et la délicatesse de ta présence, comme un baiser aérien, au creux de la nuque...
Ce qui compte n’est pas, de s’attacher… Mais, Simplement, Savoir que la lumière, Existe…
Alors, Le jour Où ton regard s’est posé sur le monde, Est un jour que j’aime…
Je risque de ne pas être plus bavarde que mes prédécesseurs, mais il mérite qu'on y pose le notre, de regard, de loin, sans trop oser s'approcher, ça parait tellement doux et fragile...
une grande douceur dans ces mots, mais on sent la violence retenue derrière, dans les "cordes qui ne sont pas là, Pour nous pendre", par exemple. cela donne de la force à ta tendresse, et de la qualité à ton écriture.
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