Ah….un tambour n’est rien qu’un tambour Et son son n’est rien que mon sang Et mes mots ne sont que mes maux Et le ronronnement triste de la muse Garde le cloître cloué de ma chair Cher vacillement d’une déchirure Qui s’éloigne creusant au large du tourbillon gras et gris que fait l’image qu’importe laquelle car il est là… alors le vide est le plus docile et le silence le paradis… un tambour n’est plus un tambour et le son n’est plus que du sang mais du silence abondant…
et il pleut des émeraudes en fusion depuis un ciel qui mime la fleur et moi le pauvre dans l’illusion j’ouvre mes narines et mon cœur
pour un purgatoire et des tambours…
oh calembours...oh romances! quelle âme est sans souffrances!
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
On souffre tous...tout est dis! Tu utilises des images très parlantes...je voyais ma petite histoire défiler devant mes yeux pendant ma lecture. Merci pour ces émotions Echo ------------>
Là où l'on brûle les livres on finira bien par brûler les hommes...
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