La vie si belle, Si pure et réelle De mes entrailles s'élève Au pas. Aujourd'hui je comprends La robe de bure, Même si elle n'est ma foi.
Et autant de pourquoi Qui estompent les lois Apesanteur tu es majeure Tu éloignes le leurre.
La nuit, je voulais chasser de mes pensées, Autrefois, Mais au tréfonds du moi elle m'éclaire, Parfois. Alors, tendre, cruelle amie je ne suis rien Sans toi.
Vaine serait la lumière de l'étoile Sur la toile, Sans la "sombre" obscurité De nos vies ennuyées...
Chers Sims et Alinus, tous deux aux belles étoiles blanches sur fond rouge, je suis particulièrement époustouflée par vos trés sympathiques commentaires...
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