L'éther sulfureux de la médiocrité Ce ventre bleu passion, page de nos mémoires Où, l'envie ressuscite nos cadavres Où, en lieux, l'enfer est plage habitée Où, nos maux se sont parlés d'un havre
Cet endroit c'est encore le nôtre...
Par la voix qui t'appelle à effacer la mienne Pour la tombe sur laquelle je ne voudrais d'hommages Laisses y seulement une carte et ta peine J'attendrai que la pluie en change l'image.
Pas besoin d'un sourire d'étincelles vêtu Essoufflé dans l'étau d'orageux souvenirs D'émeraudes en poussières sur des lunes émues Pour qu'enfle sa lueur d'un mortel soupir.
L'été c'est mon hiver qu'on me jette par poignées En poudre de fleurs qui, jadis était verre Où l'éther sulfureux de la médiocrité Me crève les yeux quand les nuits sont claires.
Martin.
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
"Pas besoin d'un sourire d'étincelles vêtu Essoufflé dans l'étau d'orageux souvenirs D'émeraudes en poussières sur des lunes émues Pour qu'enfle sa lueur d'un mortel soupir."
j'ai du mal avec la première strophe, mais je suis accroché par les images originales finales.
"L'été c'est mon hiver qu'on me jette par poignées En poudre de fleurs qui, jadis était verre Où l'éther sulfureux de la médiocrité Me crève les yeux quand les nuits sont claires."
De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. P. Desprosges
Corwin: Je peu comprendre ta difficulté avec les premières strophes mais, on me reproche souvent d'écrire de façon trop hermétique j'ai juste voulu faire différent pour une fois.
Merci pour le commentaire.
Martin.
Avec l'ombre d'une épée tous les coups sont permis
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