Dis, planteras-tu tes dents en mon corsage? Et tes ongles déchireront-ils la paresse? Je voudrais tes lèvres qui goûteraient mon ivresse Et nos doigts jouant à délasser nos corps-sages.
Suivrons-nous les lucioles du marécage, Dans les chemins de chaos où l'on nous dépèce? Être ta brise furibonde, sans indélicatesses... J'suis pas l'une de ces folies que l'on met en cage.
Comme un papillon tu devras me figer dans l'ambre Avant que le glas de notre été ne sonne Septembre... Et mes mots traceront ton visage dans mes carnets.
Dans le ciel, nos yeux-farfouilleurs dessinent un carrousel Et si on trucidait l'Atlantique pare-étincelles? Pour entrelacer nos cheveux, rien n'est plus doux que Juillet...
-12 mars-2007- Mademoiselle Brin...
(Là-haut l'absence entière et le bleu charbonnant.) Par le jour se levaient des géants tristes, un violon en carton-pâte sous le rêve. (Fernand O. -Le Soleil sous la mort)
Tu as raison..rien n'est plus que doux juillet..je suis née en juillet mais je reste objective crois moi parce que ton poème..est magnifique...et..tout doux..
J'me sens moche, pas de mot aujourd'hui. Mais vous me faites du bien.
Myriam, t'as raison, plus beau comme ça.
(Là-haut l'absence entière et le bleu charbonnant.) Par le jour se levaient des géants tristes, un violon en carton-pâte sous le rêve. (Fernand O. -Le Soleil sous la mort)
juillet t a inspiré...tu as su nous composer un joli poème sur une saison toute aussi jolie..les arbres sont fleuris,les amoureux roucoulent sous le soleil...une bouffée d oxygène que tu as écrit la. une lecture bien appréciée. amicalement. pyc.
Bonsoir, je viens de vous découvrir et vous m'avez émue. vous êtes en voix de devenir une poétesse qui laissera sa trace, vous avez un talent fou, n'en doutée pas, un coup de coeur et je deviendrai une fidèle lectrice.À bientôt et toutes mes félécitations.Okana
Okana, ce commentaire est une douceur au coeur. Merci.
Romain, ... *chuchotte que l'été reviendra toujours*
(Là-haut l'absence entière et le bleu charbonnant.) Par le jour se levaient des géants tristes, un violon en carton-pâte sous le rêve. (Fernand O. -Le Soleil sous la mort)
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.