Purement devenir tu t’en vas Vers l’infinie transcendance D’une très basse fragrance Et qui tend vers tout ce qui est chair …………… Qu’il y ait un doux vent mélancolique Aux confins obscurs de la vie J’y rentrerai enfin heureux Enfin pire que ce que je suis Un cri repoussant la douleur Comme une couleur qu’on va enfuir Dans un tiroir pittoresque Où tout conserve sa nudité …….. Et on court Et on marche Et on rêve… Sur un lit Puis les autres rêvent de nous Comme d’une chanson …… Alors chantons dès maintenant Il n’est jamais tard pour s’envoler Au dessus de toute linéarité Chantons la continuité ….. Purement seul dans le désordre Je cherche un ordre peut être manqué De l’imperceptible symphonie Plutôt du nous dans l’individu Et de sa chair dans les étoiles ……. Impures idées comme des paroles Perfidies d’un être hautain Vous vous moquez des intestins ? Vous-même vous êtes des intestins Et en plus avec des dents……… Enragées vous vous heurtez partout Sur une matière qui ne finit jamais Peut être un jour avec vous Après l’avant dernière morsure …… Mais ce matin un papillon… Vint danser sur ma peau… Et d’un battement d’ailes souriant il m’offre un peu de repos.
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
Une recherche de pureté dans toute chose, un refus du prosaïque et du commun, ce sont là des aspirations de poète mon preux croisé. Ta quête est noble, que les Dieux t'accompagnent et te protègent.
L'hiver faisait la rue mouillée Dans l'obscurité bleu marine O comme j'adorais mordiller Ta lèvre comme une mandarine
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