Femme expatriée Tu croyais retourner Dans ton site aimé Aux contours ensablés Mais il t’a oubliée. Tant de fois tu as pleuré Ta famille décimée Tu étais infirmière Et les hommes et leur guerre T’ont emmenée dans ce pays Si près et si loin d’ici. Trahie par ta destinée, Tu t’es sentie abandonnée. Les yeux rêveurs A la limite des pleurs, Tu nous racontes ton père, Ta famille,le désert. Des fois tu prépares Nous parlant de ton départ, Des plats au goût de soleil Chebbakia,et corne de gazelle, M’ karat,roses des sables au miel Harira,tout un air de merveille. Tout chez toi est félin, Malgré ces années qui te vont si bien, Tu vis en France depuis des décennies Zagora est bien loin de ta vie.
Coucou Arpège, on te vois ici touchée par l'histoire d'une personne, et tu nous la fais transparaître avec une note de nostalgie et d'affliction. On ressent ainsi à notre tour cette histoire, on ressent un peu de toi aussi en émotion.. je l'ai trouvé bien écrit
Jonathan
PS : ha ! quel c.. heu c'est pour AL hein ? très très joli encore.. oui oui
Bonsoir Lilo, tu défends très bien les coeurs qui souffrent, j'ai aimé te lire car tu écris avec sagesse et des mots qui viennent du coeur. c'coeur. Amitié de ton Okana...
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