Tanné de la publicité? Devenez un membre privilège et dites adieu aux bannières!

LPDP - Page d'accueil
Compte privilège
Nouveau compte
Activer un compte
Oublié mot de passe?
Renvoyer code d'activation
Poèmes populaires
Hasards de l'équipe
Poèmes de l'année
Publier un poème
Liste détaillée des sections
Poème au hasard
Poème au hasard avancé
Publications
Règlements
Liste des membres
Fils RSS
Foire aux questions
Contactez-nous
À Propos
::Poèmes::
Poèmes d'amour
Poèmes tristes
Poèmes d'amitié
Poèmes loufoques
Autres poèmes
Poèmes collectifs
Acrostiches
Poèmes par thèmes
::Textes::
Nouvelles littéraires
Contes d'horreur
Textes érotiques
Contes fantastiques
Lettres ouvertes
Citations personnelles & Formes courtes
Textes d'opinion
Théâtre & Scénario
::Discussions::
Nouvelles
Portrait sous vers
Les parutions
De tout et de rien
Aide aux utilisateurs
Boîte à suggestions
Journal
Le coin de la technique
::Images::
Album photo

Membres : 2
Invités : 10
Invisible : 0
Total : 12
· Philippe MANGOT · soumise marguerite
13258 membres inscrits

Montréal: 23 septembre 03:08:28
Paris: 23 septembre 09:08:28
::Sélection du thème::
Ciel d'automne
Lime trash
Soleil levant









LPDP :: Nouvelles littéraires :: Amnésie... V (suite) vertical_align_bottom arrow_forward_ios

Page : [1] :: Répondre
Lograth
Impossible d'afficher l'image
L'ire du dragon vert, ivre de flammes et de rage...
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
163 poèmes Liste
3561 commentaires
Membre depuis
27 juin 2002
Dernière connexion
23 mai 2011 à 19:31
  Publié: 18 févr 2003 à 22:55
Modifié:  13 août 2010 à 12:05 par Lunastrelle
Citer vertical_align_bottom

-Que fait-on, maintenant?» fit Merlock à l’adresse de Green, alors qu’il conduisait toujours en direction du Centre-Ville de Syracuse.

-Vous me déposez au Centre-Ville, j’ai des emplettes à faire, mais vous vous savez ce que vous avez à faire!» répondit Green sur un ton nonchalant, mais où pointait un brin de sévérité…

-J’m’rappelle pas…» tenta d’expliquer, Merlock.

-Bonté divine, sergent! s’exclama Green, vous le faites exprès ou quoi! Vous allez à la morgue demain et me prévenez du résultat de l’autopsie en insistant auprès du médecin-légiste que cela est au plus pressant, d’accord. Et pas de délai… Je veux le résultat du rapport, ou ses éléments les plus essentiels ou les plus dignes d’intérêt dès que vous les connaissez, c’est clair?»

-C’est vrai! J’avais oublié! Un blanc de mémoire, sans doute… Veuillez pardonner ma négligence, lieutenant Green.» répondit Honorius Merlock Shomes, alors que la voiture déposait son passager au Cente-Ville.


*******************************************************

Peu de temps après, dans un ailleurs pas trop lointain, le rédacteur et journaliste, Ted Folatry, assis à son bureau, relisait le papier étalé sur son bureau. Et la nature sibylline des propos qu’il dégageait le laissait perplexe :

«Vous connaissez Wiston Mc Hammon Mustard de Wall Street à New-York? Hé bien, j’ai des raisons de croire que ce dernier a trempé dans des activités louches et suspectes que je ne veux pas divulguer ici, car je me sens qu’on m’observe, me surveille et m’espionne peut-être. Aussi, me suis-je dit que le concours d’un journaliste et rédacteur d’un journal indépendant et pour ainsi dire «en concurrence» avec le journal officiel de Syracuse pourrait m’être d’un précieux recours, plus que «l’organe officiel», disais-je, de la Ville.

J’aurais aimé vous en dire plus, mais devant prendre de plus en plus de précautions, j’évite de vous faire part des conclusions et mêmes des preuves «hâtives» que j’ai accumulées dans ce dossier concernant les activités illicites, que dis-je, «immorales» de Mc Hammon Mustard, mais me sentant depuis peu constamment épié, je préfère vous parler de vive voix.

Aussi, je vous serai gré d’une rencontre au lieu que je vous indiquerai ci-dessous, en espérant que vous y serez, puisque je vous y attendrai durant une heure, après quoi, si vous n’y êtes pas, je tenterai ma chance auprès d’un autre journal. Si vous acceptez ce rendez-vous, je vous assure que je pourrai vos soumettre des preuves sur ce que j’avance. Mais, pour en revenir à une morale «journalistique» et dès plus profitable pour vous, pensez donc à ce que signifierait un tel «scoop» pour votre journal.»
Il n’y avait pas de signature, seulement un post-scriptum avec la date, l’heure et l’endroit du rendez-vous fixé.

Ted Folatry examina encore le papier… Un papier tout ce qu’il y a de plus ordinaire… Mais pourquoi, sans signature ? Un paranoïaque sans doute, peut-être un vulgaire plaisantin. Pourquoi ajouter foi à une telle missive ? N’empêche, il méditait…
Bien sûr qu’il connaissait Aristide Mc Hammon Mustard de nom… Il passait même quelques temps, dans la région de Syracuse, depuis un certain temps, mais quoi, il avait bien le droit d’employer son temps où il le voulait et quand il le voulait, non? Avec tout l’argent que Mc Hammon Mustard possédait, rien d’anormal là-dedans… Mais d’un autre côté, c’était le gros poisson à flairer s’il y avait anguille sous roche comme le prétendait cet individu «anonyme».
Allons, il ne restait plus que quelques heures avant l’heure du rendez-vous. Il se devait de prendre une décision. Allait-il ou non à ce rendez-vous auquel on le suppliait, semblait-il, de se rendre? Avait-il peur? Bien sûr que non! Il en avait vu d’autres quand il avait le Vietnam dans les années 70. Mais, il ne voulait pas perdre son temps non plus suite à une mauvaise blague de la part d’un pauvre illuminé en mal de sensation qui voulait se rendre intéressant.

Tout-de-même, le ton de la lettre l’intriguait… Peut-être y avait-il là manière à approfondir… Et puis, il verrait bien après tout.

Il prit le téléphone et appela sa femme, Stephany, médecin-légiste, pour la région de Syracuse et l’informa de ne pas l’attendre pour souper. Non, bien qu’il était aux environs de 16h.00, il serait absent toute la soirée de la maison; une affaire urgente à couvrir qui ne pouvait souffrir aucun retard, expliquait-il. Il valait mieux en mettre plus pour qu’elle ne s’étonne pas d’une «absence» prolongée de sa part. En même temps, s’il ne revenait pas après un certain laps de temps, elle finirait bien par appeler les flics.

Sa décision maintenant prise, il prit son bloc-notes, son manteau, chapeau et se dit qu’il avait juste le temps de passer chez «Sam» goûter à ce fameux «hot dog à la sauce poivrée accompagné de frites à la sauce dijonnaise et fines herbes» du modeste restaurant que ce dernier possédait avant de se rendre au rendez-vous. Alors qu’il se dirigeait vers la porte, il se retourna et revint vers le bureau et ouvrit un tiroir pour en sortir le «Colt .45» qui s’y dissimulait. «Vaut quand même mieux prendre ses précautions» se dit-il.


Un mastodonte tirant une remorque sur la 81 en direction nord, vers Cortland et Syracuse filait sur l’autoroute et son conducteur, jovial, bon vivant, autant que bon enfant, essayait de s’entretenir avec le passager qu’il avait fait monter à son bord quelques minutes auparavant et qui ne desserrait toujours pas les dents.

-Vous savez, c’est une chance dans votre malchance, dit-il, à l’adresse de son passager, que j’aie failli vous écraser tout-à-l’heure, car sinon, je ne m’arrête même pas pour des auto-stoppeurs sur le bord de la route…

Aucune réaction de la part de l’individu vêtu de noir qui prenait place à ses côtés et qui ne semblait même pas l’écouter.

-Malgré tout, continua Marvin, avouez qu’avec votre allure, tout sale, excusez-moi de vous le faire remarquer, et le sang dans votre chevelure, vous avez un aspect assez inquiétant, non? Il fit une pause et reprit :
«Non, mais quelle idée de sortir ainsi au beau milieu de la route sans regarder? À croire que vous avez passé plusieurs jours dans la forêt, mon vieux… Vous faites un peu négligé, là… Et puis, cette entaille à la tête, vous êtes sûr que vous ne voulez pas que je vous conduise à l’hôpital à la place, mon cher?
L’étranger, le passager de son camion finit par articuler (à son grand étonnement d’ailleurs) sur un ton mi-figue, mi-raisin :

«Ce n’est pas nécessaire… Arrêtez-vous seulement où je vous ai demandé et dites-moi quelle date et l’année que nous sommes.»

-Comment, ce n’est pas sérieux! Ne me dites pas que vous allez me raconter des salades dans le genre que vous venez d’une autre planète ou d’un autre temps ou que sais-je encore?» s’exclama Marvin.

-Ce n’est pas ça, fit son passager, je ne m’en rappelle tout simplement pas, voilà tout.

-C’est vrai que si vous vous êtes perdu dans le bois…» semblait s’interroger Marvin…
«On est le 29 octobre 2001» finit-il par dire.

L’inconnu, son passager, murmura presque pour lui-même alors :

«Eh bien, je ne m’étais pas trompé de beaucoup pour le mois à une ou deux semaines près lorsque je me suis réveillé en pleine forêt il y a quelques jours.»

Mais Marvin n’avait rien entendu et poursuivait de plus belle :

«En passant, moi, c’est Marvin, fit ce dernier, et vous c’est comment?»

-Je ne m’en souviens pas!»

Il y eut comme un moment de silence malgré les bruits de l’autoroute et Mervin qui semblait intarissable prit quand même la mouche :

-Bon, voilà-t-y pas qu’y s’en souvient pas. Même pas son nom… Avouez que vous me faites marcher jusque là, non? J’m’demande si je devrais pas vous faire descendre de mon camion à coup de bottes dans l’arrière-train, moi! J’veux bien vous aider mais ‘faut pas abuser de ma bienveillance pa’ce que j’aime pas qu’on s’paye ma tête, moi!

Pour toute réponse, sans prévenir, l’inconnu le saisit par le col de la veste et la bouche collée à deux doigts de son visage, lui dit d’un ton sans réplique :

«Écoutez! Je vous suis gré de m’avoir pris à votre bord et c’est gentil de m’avoir épargné après avoir manqué presque de m’estropier, mais je n’ai pas le goût à rire, voyez-vous! Quand vous vous êtes arrêté tout à l’heure, je vous ai demandé dans quelel direction vous alliez après avoir su où nous nous trouvions et si vous connaissiez ce motel sur la 81 et si c’était sur votre chemin. Aussi, je vous demande seulement de m’y conduire, c’est clair ?»
Et il relâcha son emprise.

«Okay, mon vieux, fallait le dire… Pas besoin de vous fâcher, quoi» rétorqua Marvin, quelque peu impressionné par la force de la poigne de l’individu.

Le silence reprit dans l’habitacle du mastodonte qui continuait à dévorer les kilomètres, tandis que l’homme à la veste noire, toujours aussi «anonyme» qu’à son réveil dans la forêt songeait à ce nouveau corps (était-ce le même ou un autre?) qu’il avait découvert. Encore une chance qu’il avait trouvé ces allumettes et cette clé sur ce dernier il y avait quelques temps. Bien que les allumettes aient été encore humides, ce qui l’avait empêché de faire du feu (il fallait bien attendre qu’elles sèchent) et bien que l’inscription sur le carton était en partie effacée également par le séjour dans l’eau, le nom du motel était encore plus ou moins lisible, ainsi que l’adresse… C’est alors que sans s’en apercevoir, il avait débouché sur cette fameuse route et que le camion-remorque avait failli le renverser.

En fait, il devait une fière chandelle à ce camionneur, ce «Marvin», car sans sa providentielle intervention, il serait peut-être encore entrain d’errer sur la route…

Aussi finit-il par s’adresser à voix haute et comme à l’intention de Marvin :

«Shit, vous n’avez rien à bouffer dans votre camion, y a une éternité que j’ai rien mangé!»

-À la bonne heure! Vous voilà rendu à de meilleurs sentiments à mon égard, rétorqua Marvin qui ne semblait pas rancunier le moins du monde, il y a du café dans ce thermos qu’il tira de dessous de son siège et le tendit à son passager.
«Et puis, je crois bien qu’il me reste un sandwich dans la boîte-à-gants» ajouta-t-il.

L’inconnu ouvrit le coffre-à-gants et en sortit un sandwich enveloppé de papier cellophane. Il semblait passé date, ce qui n’empêcha pas notre inconnu après avoir retiré la pellicule de mordre à pleine dents dedans comme un affamé!

«Holà, fit Marvin, attention, vous allez vous étouffer!»

Pour toute réponse, l’homme en noir prit une autre bouchée en l’avalant goulûment tout en buvant une autre gorgée du café infect préparé par Marvin, mais il n’en avait cure…

Et dans le soir, les phares du camion balayaient la route à une vitesse plus ou moins légale.

*******************************************************

(Suite dans quelques jours : «Le Môtel Gates» -1-)

-1- Note : Allusion au «Motel Bates» du célèbre film d’Alfred Hitchcock : «Psychose». Et peut-être à ce magnat de l'informatique également, qui sait?

  "Nous rencontrons l'amour qui met nos coeurs en feu, puis nous trouvons la mort qui met nos corps en cendres." [Tristan L'Hermite, extrait de "Les Amours"]. "Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres." [Elsa Triolet, extrait de "Le Grand Jamais"].
PAPEMICH


Dans le regard du poète, se consument les mots de l'âme
   
Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
116 poèmes Liste
1676 commentaires
Membre depuis
5 novembre 2002
Dernière connexion
4 avr 2011 à 18:26
  Publié: 19 févr 2003 à 20:50 Citer vertical_align_bottom

ouais..
récapitulons......

on a une vieille riche louche....
une couple de flics ringuards....
un perdu qui se souvient plus....
un camionneur sympa qui roule vite...
un motel à hitchcok......
un cadavre sur le billard qui sera charcuté....

et un autre cadavre ambulant à allumettes.....

ah bien là , ça y est.....

je suis foutrement embêté et je vois vraiment pas l'issue..

donc....

conclusion logique , mon cher Lograth..

j'ai hâte à la suite.....

hi..hi...hi....

ton ami
papemich

  http://papemich.free.fr/
Magik_Rune


Il est toujours possible d'espérer, et c'est justement cela qui est désespérant.
   
Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
80 poèmes Liste
1489 commentaires
Membre depuis
19 octobre 2002
Dernière connexion
11 avr 2013 à 01:51
  Publié: 20 févr 2003 à 11:32 Citer vertical_align_bottom

J'arrive à la même conclusion que ce cher Michel

Que trouvera-t-il dans ce motel ? Des réponses... Ou encore plus de questions ?

Amicalement,

Guillaume

  À force de brûler de désir, l'être se carbonise, et les cendres viennent assécher les larmes...
Lograth
Impossible d'afficher l'image
L'ire du dragon vert, ivre de flammes et de rage...
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
163 poèmes Liste
3561 commentaires
Membre depuis
27 juin 2002
Dernière connexion
23 mai 2011 à 19:31
  Publié: 20 févr 2003 à 16:32
Modifié:  Il y a 0 minute par Lograth
Citer vertical_align_bottom

Merci les amis!

Je dois vous dire que pour faire un "polar" de ce genre, y faut faire attention aux détails... J'ai donc fait deux erreurs, enfin une et demie, disons...

Ted Folatry ne peut pas avoir fait la guerre de Corée, qui a eu lieu dans les années 1950 à 1953... Admettons qu'il y aurait été, et qu'il avait au moins 25 ou 30 ans... 1953 à 2001, ça nous fait déjà 48 ans de passé. Or donc, s'il avait, disons, 25 ans à l'époque + 48, 73 ans (et 78 s'il en avait 30 au moment de la guerre.). Bien que jouissant d'une santé à toute épreuve, ça le rend un peu vieux pour diriger un journal et/ou être journaliste en même temps et encore bien moins pour se lancer dans une telle aventure...

J'ai donc rectifié mon tir (comme au sujet du Colt dont je n'avais pas noté le type et que j'ai spécifié dans le texte) à ce sujet, en expliquant que Ted Folatry avait bien entendu fait la guerre du Vietnam (au lieu de celle de Corée) comme j'avais mentionné au début -pour ceux qui ne verront pas le changement, puisque c'est déjà corrigé!- dans les années 70... Comme l'âge moyen des américains étaient de 19 ans lors de cette époque au moment de cette guerre, donc 20 ans ou un peu plus... L'âge respectable de Folatry s'il avait 20 ans ou même plus, à l'époque, ou un peu plus lui donnerait un âge approximatif d'une quarantaine d'années ou à la rigueur près de 50, ce qui est parfait dans ce genre d'histoire. Aussi, excusez-moi de l'erreur...

Quant au "Colt", j'en ai précisé le type ".45", car ce sont ces genres de pistolets que l'armée américaines utilisaient dans l'armée (j'ai vérifié!) de terre dans les anéées de la guerre du Vietnam, au début, en compagnie des "Smith et Wesson M 15, calibre .38. Le "Colt .45" a par la suite été abandonné par l'armée américaine, mais il est logique qu'un vétéran tel que Folatry en ait eu un. J'ai donc modifié légèrement le texte pour refléter ces faits.

Quant au goût culinaire de Folatry, personne n'a relevé cette cuisine spéciale concernant le "Hot dog à la sauce poivrée"? Ah, j'aimrais vous dire qu'il existe vraiment dans cette région de l'État de New York et que si vous alliez dans la petite bourgarde d'Utica, par exemple, vous trouveriez cette fameuse recette venant de "Chez Sam" qui a fait la renommée de la région, mais, hélas, il n'en est rien! Par contre, peut-être vous dire que Merlock en est un friand amateur également vous fera sourire, n'est-ce pas?

Maintenant, concernant vos commentiares.... Tu as sensiblement bien résumé la situation, Michel dans la liste des suspects au sujet d'un meutre qu'on ne sait toujours pas si y en a eu un finalement et sur un accident avec décès. Quid?
Je vous laisse sur vos suppositions.

Quant à toi, Guillaume, il m'est toujours d'un plaisir agréable de voir que tu suis mon texte, toi aussi... Mais pour répondre à ta question... Eh bien, il risque (notre inconnu) d'avoir des réponses à certaines de ses questions et ainsi d'avoir encore plus de réponses à trouver suite à d'autres questions qui ne manqueront pas de surgir...
Donc, la suite ce week-end... J'ai également la suite de "Jeux Interdits" à faire en même temps, comme tu le sais, toi, Michel... Je crois pouvoir mettre les deux probablement ce week-end ou très près l'un del'aure, enfin j'espère...

Merci! Et excusez de la longeur de ma réponse, mais je voulais éclairer certains points et vous laissez dans le vague en même temps... ;-)



  "Nous rencontrons l'amour qui met nos coeurs en feu, puis nous trouvons la mort qui met nos corps en cendres." [Tristan L'Hermite, extrait de "Les Amours"]. "Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres." [Elsa Triolet, extrait de "Le Grand Jamais"].
Marine

Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
40 poèmes Liste
4952 commentaires
Membre depuis
14 septembre 2002
Dernière connexion
23 mars 2015 à 03:20
  Publié: 27 févr 2003 à 10:28 Citer vertical_align_bottom

Salut Martin !

Sympa et confiant ce Marvin... je suis contente de reprendre le cours de cette histoire !

Marie

 
Page : [1] :: Répondre

 

 



Répondre
Version imprimable
Avertissement par courriel
Autres poèmes de cet auteur
Cocher cette section lue
Cocher toutes les sections lues
Visites: 1669
Réponses: 4
Réponses uniques: 4
Listes: 0 - Voir

Page : [1]

Les membres qui ont aimé ce poème ont aussi aimé les poèmes suivants :



Nous n'avons pas assez de données pour vous afficher des recommandations. Aidez-nous en assignant une cote d'appréciation aux poèmes que vous consultez.

 

 
Cette page a été générée en [0,0369] secondes.
 © 2000 - 2023 VizFX.ca - Tous droits réservés  | Pour nous joindre
L'utilisation de ce site Web implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Tous les textes hébergés par La Passion des Poèmes sont protégés par les lois de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation de l'auteur du texte en question.

           
 
Oubliez votre mot de passe? Cliquez ici.