Vois en moi l'image d'un humble vétéran de vaudeville distribué vicieusement dans les rôles de victimes et de vilains par les vicissitudes de la vie.
Ce visage, plus qu'un vil vernis de vanité, est un vestige de la vox populi aujourd'hui vacante, évanouie.
Cependant cette vaillante visite d'une vexation passée, je me retrouve vivifié et fais voeu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans le vicieusement violent une vorace violation de la volition...
Un seul verdict, la vengeance: une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilant et le vertueux.
*Une telle véhémence vantant les velléités d'un veau-rien ne saurait valoir sans vergogne les railleries vociférées d'une virago à la vue d'une virilité vérolée.
En vérité, ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux alors évitons de vaciller dans le verbalisme vindicatif, vivons vraiment ce plaisir de versifier avec verve et valeur sans verser du côté voyou ou vouer vaine vertu à une mauvaise voie.
Hommage à V (... pour Vendetta !) *rajout d'un paragraphe
Si par la vendetta nous devons tuer tous les vers, que resterait-il des versificateurs, il en resterai une vaste écatombe, nous vouant irrémédiablement à des vers-mifuges, je vocifèrerai au vent des mes involontaires envie d'écrire....et vous Idem. Comme toujours
Une tirade éblouissante qui me rappelle tout à fait le film !
Une débauche de "V" qui nous donne le Vertige, bien sûr !
Super !
A bientôt
Vous pouvez prendre connaissance de mon système de versification, si vous le souhaitez (système personnel qui s'écarte des règles purement classiques).
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