Un accord résonne… Les images défilent sous mes paupières, Elles ont moins de précision, Leur flamme tremble…
Je traîne dans les couloirs, je sème ma peine, A ne rien vouloir on se perd soi-même.
Un visage calligraphié à l’encre de chine, Dont le regard est empreint de souvenirs, Un corps vivant comme une machine, Si l’esprit se réveille, le coeur se voit périr.
Oublier ton nom Oublier ton non, où lier ton nom, le laisser au loin.
Né d’une fleur tombée dans mes cheveux, Le sourire rêveur à tes lèvres s’envole, Une larme qui ne coulera de sa demeure bleue, Inexistante à jamais sous l’arbre aux couleurs folles.
Je traîne dans le noir, je sème ma peine, A ne rien vouloir on se perd soi-même. Oublier ton nom pour oublier ma peine Là, dans le noir, ne plus te vouloir.
Bonjour Billie, te poésie est si belle que de te lire me comble, je connais cette tristesse qui est parfois très longue à disparaître.Merci pour ce bel écrit.Amitié.Okana.
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