Les effluves de l’aurore caressent tes cheveux Dans des parfums sucrés aux arômes d’épices J’ai l’odeur de ta peau collée aux mystères Des joyaux de ton cœur illuminant la nuit
Ton sourire lumineux en habit de tendresse Démaquille mon âme en laissant apparaître Les couleurs de la vie aux sublimes étincelles Dénonçant la fragrance de sentiments intimes
Que tes mains renfermant mes errantes icônes S’ouvrent en silence dans le reflet cristallin D’un soleil blanc d’automne où s’enflamment les vents Les laissant s’envoler dans les fleurs de ton temps
A ton corps de douceur façonné des étoiles Je découvre l’émotion embuée de bonheur Sur laquelle les voiles de moments partagés Se découpent en silence pour échapper nos sens
J’ai l’amour d’un Pèlerin qui envie d’annoncer Quand mes rêves tempêtent dans le creux de tes reins Quand les vœux du matin se transforment en satin Que mon cœur dans tes cieux forme un tout amoureux
Quand on observe des ruines, on se dit qu'il n'y a que l'extérieur qui n'ait pas été rongé...
En effet, l'amour autant que le mal procure chez moi des sensations fortes, et des images tellement belles dans ma tête que j'essaie au mieux de les retranscrire.
Merci de ton passage James, au plaisir
Quand on observe des ruines, on se dit qu'il n'y a que l'extérieur qui n'ait pas été rongé...
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