Lorsque le vent du souvenir me renvoie jusqu’à ton visage, C’est un mélange de douleur et de peine qui atteint mon rivage, Et je te cherche encore, sans savoir…Es-tu là ou bien ailleurs ? J’ai peur des fosses communes, et si tu t’y trouvais, malheur…
Notre amitié, elle existera toujours même sans plus jamais te voir, Des yeux au cœur, je ne peux te laisser disparaître, et souvent, le soir, Je pense à toi et je rêve d’un signe qui nous ferait frémir, tel un rêve Éveillé, mais pourquoi le rêve glisse et se noie dans cette sève
Que seul l’arbre de l’au delà sécrète ? J’aimerais des réponses, Savoir te retrouver, où que tu sois…J’écris et je m’enfonce Dans une émotion qui me saisit profondément….Je ne veux pas Bien écrire, faire plaisir, juste te dire que sur un drap de soie,
Je fais voler jusqu’à toi cette phrase que je te répétais si souvent : « Tu es ma gentille demoiselle »…Ce soir, je te vois, je t’entends !
J'aime bien cette image : Que seul l’arbre de l’au delà sécrète ? Subtile. Il s'agit là d'un bel hommage ou l'ombre devient lumière sous ta plume et ta sensiblité.
Coucou PYC, je suis heureuse de ton retour et de profiter de cette lecture si touchante et si belle. Des mots passionnés où l'on ressent tant de tendresse en toi Bises amicales ODE 31 - 17
Je rejoins tous les commentaires, c'est émouvant tout en sensibilité, pas facile de vivre avec toutes nos émotions à fleur de peau - et pourtant il le faut bien -
C'est un peu le même sujet que le poème que vous venez de commenter, parmi les miens, à savoir la perte d'un être aimé. Je suis donc particulièrement touché par votre texte, que j'ai apprécié du début à la fin.
Beaucoup de sincérité, une émotion vraie... Vous nous faites partager une part de votre intimité sentimentale, car on imagine qu'il s'agit d'une histoire vraie...
En espérant que cette gentille demoiselle ne soit pas à jamais perdue pour votre coeur.
Un grand bravo...
Amitiés
Vous pouvez prendre connaissance de mon système de versification, si vous le souhaitez (système personnel qui s'écarte des règles purement classiques).
Il y a un lieu ( je le crois) qui est capable de rassembler toutes nos interrogations, le jour de notre rupture avec la vie, nous entraîne vers l'au-delà, et point par point y répond!!! Pour le moment accumulons notre tirelire aux multiples interrogations, elle sera brisée en temps en heure! Je te le souhaite cher PYC toi qui exprime par les maux ta douleur s'estompera ...
J'en suis persuadé
À très bientôt à lire tes subtiles mots
Marchepascal
Le temps comme le vent passe et ne s’arrête jamais!!!
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