Après nous. D'un temps, se tend et séduit le corps, Je crois, un instant, que l'attente édulcore. Erode, et ère tel celui qui s'étend dans un souffle. D'air. Et de rien. Le moment est sidérant.
Tel un rouage magnanime, une moue de rage, un jaugeage, j'estime.
Sillon. Un creux, celui de la colère. Se remplit de goudron. Goût amer, coût de faire. La raison, le repère, le replis. Trois aires. Des postures.
Thib, oui, c'est assez lié avec un sentiment de peur de perte du contrôle : un sentiment de "trop tard" consumé. Merci d'être passé.
So sweet, c'est vrai qu'elle est étrange cette phrase : on la pense plus qu'on ne la dit. Et la dit plus qu'on ne l'écrit. Merci pour ton commentaire.
Peau d'Âme, merci pour l'ajout. La frustration n'est au fond que l'inaccessibilité à ce que l'on désire... Au final, c'est tragique mais ça le fait vivre.
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