Fuir les traces des chemins de boue
Effacer les larmes sur ses joues
Tenter de laver ses peurs
Faire un pacte avec le meilleur.
Déblayer ce qui reste du passé
Imaginer que l'on peut essayer
Pour se donner une chance
D'équilibrer, enfin, la balance.
Par la pensée je te bouscule,
Toi et tes tristes crépuscules.
Oser entrevoir que l'ailleurs
N'est autre que l'ici présent,
C'était un leurre,
Jadis bien séant.
Pacte avec le meilleur
Avances loin des ombres
Cogner toutes les douleurs
Trouver un autre nombre
Et s'offrir une fleur.
Aléas percutants
Vivants d'antan,
Entêtants, envoûtants
Ces damnés du présent.
Lier les séquelles au passé,
En touchant la vérité.
Muer de l'ancien monde
Etrenner un nouveau manteau,
Indéniable espoir,
Lueur pétillante
Lancée hors du mouroir,
Eloigner certains maux
User de ce pouvoir
Rejeter l'échafaud.
Par la pensée je te bouscule
Toi et tes tristes crépuscules,
Oser entrevoir que l'ailleurs
N'est autre que l'ici présent,
C'était un leurre
Jadis bien séant...
il faut croire à l'impossible,
car il n'est qu'improbable.
Enfin j'espère. Leurre et
réalité se confondent, mais
qui sait où commence la
réalité et où s'arrête le rêve ?
Ton poème me fait délirer,
et j'en oublie de te dire que
qu'il m'a beaucoup plu
Cher Valter quel plaisir de te voir, ainsi que loup et chimay... venir vous poser sur mes mots, c'est délirant, à croire que vous m'attendez au tournant...
En tous cas ça me touche toujours autant, et sache que ce texte n'est autre que l'auto-motivation,
Au mieux que je puisse y arriver...
En général, c'est l'annonce de bien tristes pensées, comme si je sentais venir ces stupides démons...
Enfin le réconfort est toujours trouvé ici, prés de toi, de vous qui me suivez...
Et ce très cher Chimay, avec ces mots hors du commun qui m'apprécie, c'est toujours étrange à mes yeux, mais je reçois tes compliments avec beaucoup d'émotions...
Et comme je le disais à Loup et Valter, un GRAND MERCI, à toi aussi, si souvent présent...
Tu vois c'est étrange chère Marie, comme des fois on pense que l'on ne pourra plus jamais rien écrire, et puis revient l'inspiration, avec quelques ombres du passé,
A croire qu'on ne peut se passer d'elles...
Tu vois c'est étrange chère Marie, comme des fois on pense que l'on ne pourra plus jamais rien écrire, et puis revient l'inspiration, avec quelques ombres du passé,
A croire qu'on ne peut se passer d'elles...
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.