la ruelle est étalé comme toujours Sur le bas fond…. Le menuisier…n’est plus là… Comme toujours Il est dans son monde de bois Dans ses tiroirs incrustés De cette sueur qui nous porte Sur la marré qui se supporte Et qui se marre parfois Très Loin de la porte… Qui s’ouvre sur tout Et qui donne sur tout Même sur la nuit des tiroirs… Mais le menuisier s’en fout.. Mais le menuisier… Ses mains sont son esprit Et ils sont noyés dans le bois… Comme son cœur Dans son petit foyer…. Et son sang…dans sa sueur…. Et ses rêves…dans le bois…
La ruelle se tient toujours Sur le bas fond… Du sommeil profond… Elle est là la vieille dame.. Comme tous les jours.. A la même heure… Au même coin de la rue Au même coin de ma conscience… Comme une statut… Et qu’on visite… Et qu’on irrite… Et qu’on regrette… C’est dur après… Mais c’est la vie… Elle n’aime pas les statuts !!!
La ruelle court toujours A travers moi Et moi je coule encore Comme du vent sur ces ailes Comme de l’eau sur sa peau Comme des larmes sur son cœur Comme du feu dans son cœur Et je suis là…comme jamais Car elle est là…elle m’attend et de ces yeux… que je ne peux quitter Que j’aimerais tant habiter Réverbère un univers Pour nous deux…. Seulement nous deux….
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
Bonsoir Mourad, très beau cette poésie, les vers et les images sont superbes. bravo . Okana tendresse...
La ruelle se tient toujours Sur le bas fond… Du sommeil profond… Elle est là la vieille dame.. Comme tous les jours.. A la même heure… Au même coin de la rue Au même coin de ma conscience… Comme une statut… Et qu’on visite… Et qu’on irrite… Et qu’on regrette… C’est dur après… Mais c’est la vie… Elle n’aime pas les statuts !!!
La ruelle court toujours A travers moi Et moi je coule encore Comme du vent sur ces ailes Comme de l’eau sur sa peau Comme des larmes sur son cœur Comme du feu dans son cœur Et je suis là…comme jamais Car elle est là…elle m’attend et de ces yeux… que je ne peux quitter Que j’aimerais tant habiter Réverbère un univers Pour nous deux…. Seulement nous deux….
"Et je suis là…comme jamais Car elle est là…elle m’attend et de ces yeux… que je ne peux quitter Que j’aimerais tant habiter Réverbère un univers Pour nous deux…. Seulement nous deux…."
Des mots qui touchent.. Merci pour ce partage Bisous Cathy "
james: merci cher ami pur ton commentaire hautement apprécié
Catalina: merci a toi cathy car son lecture il n'y a pas de texte
Véronique: tes encouragements me ont indispensables chère véro.....et e suis très heureux de te savoir toujours une lumière pour mes texte... bisous...Mourad
un jour tu vies, un jour tu meurs, un jour tu ries, un jour tu pleurs, c'est ça la vie...c'est ça l'amour
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