Le serpent païen a eu écho de l’histoire ancienne, un serpent faisant de tous les hommes des serpents eux-mêmes. Toute vie mord dans la vie depuis. Le déséquilibre juteux a pris des proportions meurtrières, l’engloutie à la lie en certains lieux. Des milliers d’années se sont écoulées et le diable intelligent à l’orgueil acharné désire là la paix de dieu. Le splendide a eu raison de lui. Le serpent à la femme dit : Jamais je n’ai voulu engloutir l’agneau. Mon amour trop fort m’a fait bien faible. Jamais je n’ai voulu engloutir royaume. Femme, je ne te demande qu’une chose maintenant, pardonne-moi. Je me repends de mes excès. Lumière, entends-moi. Libère-moi par ta parole, trois mots par ta voix. Sss’il-te-plait, paix prononce.
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